Canicule : nos conseils et astuces pour protéger vos Freebox et éviter les dysfonctionnements

Depuis ce lundi a débuté un épisode de très forte chaleur sur la France et cela va durer toute la semaine sur presque toute la France. Univers Freebox vous propose donc quelques conseils pour protéger votre Freebox de la surchauffe, et éviter d’éventuels perturbations.

Selon les prévisions de Météo France, les températures sont très élevées dans de nombreux départements, avec un épisode de canicule qui a débuté aujourd’hui et de record qui devrait être battus ce mardi et jusqu’à ce week end.

Prévision Météo France pour le mardi 1er juillet

Comme tous les équipements informatiques dotés de composants électroniques, les Freebox sont sensibles aux fortes chaleurs et en cas de surchauffe les services peuvent être détériorés. Aussi nous vous recommandons de :

-   Ne pas superposer vos Freebox (Server et Player) l’une sur l’autre (afin d’éviter une accumulation de chaleur entre les deux box).

-   Ne pas encombrer les grilles d’aération de vos Freebox, et les dépoussiérer si besoin. Elles sont situées à l’arrière sur la Freebox Révolution et la Freebox Pop, sur les côtés pour la Mini 4K, sur le bas de chaque coté du “triangle” pour la Freebox Delta ou en dessous pour la Freebox Crystal.

-  Eviter d’enfermer votre Freebox dans un meuble (surtout si elles disposent d’une place étroite).

-  Disposer le Server et/ou le Player près d’un refroidisseur-ventilateur (ou utiliser un refroidisseur pour PC Portables par exemple…).

-  Autre astuce, surélever légèrement les Freebox à l’aide de quatre petites fixations (à déposer dans les quatre coins sous la Freebox).

Pour vérifier la température de vos Freebox, plusieurs solutions existent : Freebox OS et l’application Freebox

Pour vérifier la température de votre Freebox (tous les modèles sauf la Crystal), rendez vous sur Freebox OS : « Etat de la Freebox » puis dans l’onglet « Courbes de température ».

Vous pouvez également retrouver ces informations sur l’application officielle “Freebox” ; disponible sur Android.

Vous pourrez ainsi visualiser d’un seul coup d’oeil, la température de vos Freebox et prendre les mesures nécessaires en cas de surchauffe. Vous pourrez ensuite vérifier si votre contre-offensive anti-surchauffe a payé.

NB : N’hésitez pas à partager vos trucs et astuces contre la surchauffe avec les autres Freenautes dans les commentaires.

Clin d’oeil : Xavier Niel a taclé SFR pour sa panne et son assistance remet une pièce dans la machine

Quand le délai de réponse de l’assistance automatique de SFR est du pain béni pour Xavier Niel. 

Sur X (ex-Twitter), il y a ceux qui tweetent, ceux qui trollent, et ceux qui répondent… quand tout le monde a déjà quitté la conversation. C’est un peu ce qui vient d’arriver à SFR, pris à revers par un message taquin de Xavier Niel, le patron de Free, et dont l’assistance automatique a répliqué… avec un délai digne d’un courrier postal.

Le 13 juin dernier, alors qu’une panne du réseau SFR touchait énormément d’abonnés, Xavier Niel a profité de l’occasion pour dégainer un petit tacle sur X. Comme il le fait assez souvent, il publie alors un meme classique montrant qu’il va sûrement recruter de nouveaux abonnés suite à cette panne.

Jusque-là, rien d’extraordinaire. Sauf que deux semaines plus tard, alors que le tweet avait eu le temps de faire sa vie, de faire rire, et d’être oublié… l’assistance automatisée de SFR sort de sa torpeur et répond à Xavier Niel comme si de rien n’était. Un message standard, probablement déclenché par un mot-clé ou une mention, mais qui, dans le contexte, fait tout sauf sérieux. Résultat : Xavier Niel s’en donne alors à coeur joie, publiant une vidéo virale soulignant le retard fou de l’assistance de SFR.

Télévision connectée : quand Google grignote le terrain des opérateurs télécoms

Longtemps maîtres de l’accès à la télévision grâce à leurs box, les opérateurs télécoms voient leur position vaciller face à la montée en puissance de Google dans les téléviseurs connectés. Avec Google TV, YouTube et ses outils publicitaires, le géant américain capte l’attention des utilisateurs… et les revenus qui vont avec. Une offensive qui inquiète les “telcos”, craignant d’être relégués au second plan.

Historiquement, ce sont eux qui contrôlaient l’accès à la télévision numérique en France. Depuis les années 2000, les opérateurs télécoms ont imposé leurs box comme le principal point d’entrée vers le petit écran. Mais face à la stratégie conquérante de Google dans les téléviseurs connectés, les “telcos” voient leur modèle menacé sur plusieurs fronts.

Le constat est clair : les jeunes générations délaissent les services télé fournis par les opérateurs pour accéder directement aux contenus via les applications Internet (Netflix, YouTube, myCanal, Disney+, etc.). Résultat : la promesse des offres « triple play » (internet + téléphone + TV), longtemps fer de lance des opérateurs, s’effrite. Et avec elle, la rentabilité d’un modèle où la TV représentait une vitrine pour vendre des abonnements haut de gamme.

Google, avec son système d’exploitation Google TV (ex-Android TV), s’impose comme l’interface par défaut dans de nombreux téléviseurs. Cette percée réduit la visibilité des services télé des opérateurs, qui peinent à maintenir leur place sur un écran désormais façonné par les choix technologiques et commerciaux de Mountain View.

Face à la montée en puissance de Google, les opérateurs se divisent. Certains, comme Bouygues Telecom et SFR, ont choisi d’intégrer Google TV directement dans leurs décodeurs, c’est aussi le cas pour le dernier décodeur en date de Free, mais l’opérateur en prépare un autre depuis longtemps, sans que l’on sache encore s’il choisira un OS propriétaire ou la solution d’Android TV. Une alliance pragmatique pour rester visibles dans un univers connecté dominé par les services américains. Orange, de son côté, n’a pas encore lancé en France de player Android TV, mais affirmait que cela ne l’effrayait pas.

De nombreuses inquiétudes à gérer…

Au-delà de la concurrence commerciale, les opérateurs dénoncent une concurrence réglementairement inégale. Là où eux sont tenus de respecter des obligations strictes — numérotation des chaînes, mise en avant des services publics, protection de la jeunesse, taxes (TOCE, TST-D)… — Google, lui, échappe à ces contraintes tout en captant de plus en plus l’attention des téléspectateurs. En 2023, ces taxes ont coûté 400 millions d’euros aux opérateurs télécoms français. De quoi accentuer leur frustration, alors que Google n’est soumis à aucune contribution équivalente, tout en raflant une part croissante du marché publicitaire télé.

Autre point de crispation : la monétisation des données utilisateurs. Alors que les opérateurs commençaient à tirer profit de la TV segmentée (publicité ciblée selon les foyers), Google joue désormais sur le même terrain… mais avec une longueur d’avance. Grâce à Google TV, à l’association des comptes utilisateurs, et à sa maîtrise des outils publicitaires (YouTube Ads, DV360), le géant américain s’empare de la relation client, là où les opérateurs n’étaient qu’un canal de diffusion.

Inquiets, les opérateurs ont récemment fait entendre leur voix. Dans une consultation menée par le ministère de la Culture sur l’avenir de la télévision post-2030, la Fédération française des télécoms a alerté sur l’érosion du modèle actuel basé sur la coopération entre chaînes et telcos. Son directeur général, Romain Bonenfant, pose la question frontalement : « La durabilité du modèle historique basé sur l’alliance entre audiovisuel et télécoms est posée. » Et de réclamer des “règles du jeu équitables” face à des géants numériques qui s’imposent à tous les niveaux — plateformes, interfaces, données, publicité — sans être soumis aux mêmes obligations.

Source : Le Figaro

Les smartphones Android bientôt capables de vous protéger contre les fausses antennes mobiles

Android 16 veut protéger les utilisateurs contre les fausses antennes-relais qui peuvent être utilisées contre vous.

La dernière version du système d’exploitation mobile de Google intègre une nouvelle fonctionnalité de sécurité visant à détecter les antennes-relais factices. Un ajout discret, mais potentiellement décisif pour la protection des données personnelles.

Par défaut, les smartphones se connectent automatiquement aux antennes 2G, 3G, 4G ou 5G émettant le signal le plus fort. Ce fonctionnement standard peut toutefois être détourné via l’installation de fausses antennes – appelées IMSI catchers – capables d’intercepter les identifiants uniques des appareils, comme les numéros IMEI et IMSI. Ces données permettent notamment de suivre les déplacements d’un téléphone, et donc de son utilisateur. Ce type d’intrusion est notamment l’une des raisons pour lesquelles Google recommande de désactiver la 2G. 

Pour limiter ces risques, Android 16 introduit une alerte en cas de connexion suspecte à une antenne susceptible de demander ces identifiants. Le système pourra également désactiver automatiquement le réseau 2G, considéré comme vulnérable en raison de son chiffrement faible, voire inexistant.

Cependant, cette protection ne sera pas accessible à tous les téléphones compatibles avec Android 16. Seuls les modèles embarquant des modems spécifiques, capables de prendre en charge cette fonctionnalité, pourront en bénéficier. Les appareils à venir devront en revanche être obligatoirement compatibles pour obtenir la certification Android 16.
Une surveillance parfois légale

Les IMSI catchers ne sont pas uniquement utilisés par des cybercriminels. Leur emploi est aussi documenté dans un cadre légal par des services de renseignement. En France, leur usage est autorisé depuis 2013, avec un encadrement renforcé en 2016. Des traces de leur utilisation existent toutefois dès 2010, à une époque où le cadre juridique était encore flou.

Source : TechSpot

Bouygues Telecom augmente automatiquement le prix de certains forfaits B&You pour ses abonnés

Bouygues Telecom informe certains abonnés B&You d’une modification automatique de leur forfait, accompagnée d’une hausse de 2 euros par mois. Présentée comme un enrichissement, cette évolution inclut quelques options supplémentaires, mais reste contestable pour de nombreux utilisateurs.

Certains abonnés B&You ont récemment été informés par Bouygues Telecom que leur forfait allait évoluer automatiquement vers une nouvelle formule baptisée « B&You Max ». Derrière cette transition se cache une hausse de tarif : 2 euros de plus par mois, ce qui représente une augmentation significative pour les forfaits d’entrée de gamme à moins de 10 €.

Pour justifier ce changement, l’opérateur met en avant plusieurs ajouts à son offre. Les clients concernés bénéficieront notamment de 20 Go de données supplémentaires utilisables en Europe et dans les DOM, ainsi que de la « vitesse de la 5G ». Un argument étonnant, sachant que les anciens forfaits comprenaient déjà l’accès à la 5G.

Ce « réajustement » – que Bouygues Telecom qualifie d’« enrichissement » – ne répond pas forcément aux attentes des utilisateurs, qui auraient pu eux-mêmes opter pour une formule plus adaptée s’ils en avaient eu le besoin. L’opérateur impose donc un changement dont la valeur ajoutée reste discutable pour une majorité d’abonnés.

Le passage à B&You Max se fera sans réengagement et sans intervention de la part des clients. Le premier mois de transition sera offert, la hausse ne s’appliquera donc qu’à partir de la facture d’août. Heureusement, les abonnés conservent la possibilité de refuser cette évolution. Un lien présent dans l’email reçu permet de revenir à l’ancienne offre via l’Espace Client. Il est également possible de contacter un conseiller au 1064. La démarche doit être effectuée avant le 2 septembre 2025. Certains abonnés affirment cependant que le lien présent dans le mail ne fonctionne pas, il serait donc peut être nécessaire de directement contacter votre opérateur pour annuler cette offre. De plus, vous pouvez également résilier sans frais si vous le désirez.

Canal+ renonce à la nouvelle chaîne de la Ligue 1 : « les conditions ne sont pas réunies »

Après des semaines de discussions avec la Ligue de football professionnel, Canal+ annonce qu’il ne distribuera pas la future chaîne de la Ligue 1. En cause : des désaccords profonds sur le prix de l’abonnement, un manque de garanties sur les droits diffusés et un climat de méfiance hérité des échecs passés.

Après plusieurs semaines de négociations avec LFP Media, Canal+ a décidé de ne pas s’engager dans la distribution de la future chaîne dédiée à la Ligue 1. Le président du groupe, Maxime Saada, a confirmé avoir informé la Ligue de cette décision, estimant que « les conditions ne sont pas réunies » pour nouer un partenariat solide.

Jeudi, les présidents de clubs de Ligue 1 avaient été prévenus par Nicolas de Tavernost, à la tête de LFP Media, qu’un rendez-vous important devait se tenir avec Canal+ et beIN Sports pour envisager une collaboration autour de la nouvelle plateforme. Cette rencontre n’aura finalement pas lieu.

Un désaccord de fond sur le prix

Le principal point de friction concerne le prix de l’abonnement. Canal+ juge excessive la tarification envisagée par la Ligue — autour de 20 € pour une chaîne qui ne diffuserait pas l’intégralité des matches — contre les 10 € que propose déjà Canal+ pour ses offres européennes. « Il faut tirer les leçons de l’échec de DAZN », explique Maxime Saada, en référence à l’offre jugée trop chère qui avait alimenté le piratage.

Canal+ reproche également à la Ligue un manque de clarté sur le contenu proposé : bien que beIN conserve l’affiche principale du week-end pour 78,5 millions d’euros, rien ne garantit une exclusivité durable sur les autres matchs. Selon Saada, la LFP se réserve le droit de sous-licencier les droits à tout moment, ce qui crée une instabilité jugée inacceptable.

Canal+ affirme avoir envisagé plusieurs scénarios, dont un mandat de distribution exclusive accompagné d’un minimum garanti. Mais les exigences financières de la Ligue étaient, selon le groupe, deux fois supérieures à ce qu’il était prêt à investir. « Nous avions préparé une offre sérieuse », affirme Saada, tout en déplorant n’avoir jamais senti que Canal+ faisait partie du « scénario privilégié ».

Le poids du passé et la question du préjudice

La chaîne cryptée n’a pas oublié le précédent Mediapro : après son retrait en 2021, Canal+ avait été contraint d’honorer un contrat à 332 M€ pour deux matchs par journée, alors que la Ligue revendait le reste à Amazon pour un montant bien inférieur. Ce contentieux reste un point de tension non résolu, que Saada qualifie de « non négociable ».

Canal+ reste un acteur majeur du football, notamment à l’international, en diffusant la Ligue 1 en Afrique francophone et en finançant les Coupes d’Europe à hauteur de 480 M€ par saison. Mais en France, l’avenir de sa relation avec la Ligue 1 est incertain. « Trop de sujets nous séparent. Nous ne voulons pas freiner le lancement de la chaîne », conclut Maxime Saada.

Source : L’Équipe

Free Mobile rend encore plus simple le remboursement des frais de résiliation mobile

Free Mobile simplifie le remboursement des frais de résiliation imposés par Bouygues Telecom: la demande se fait désormais en ligne.

Changer d’opérateur mobile peut engendrer des frais de résiliation. Si pour l’instant, seul Bouygues Telecom en applique sur ses forfaits mobiles, cela pourrait évoluer à l’avenir. Pour lever ce frein, Free Mobile propose depuis quelque temps déjà de rembourser jusqu’à 10 euros de ces frais à ses nouveaux abonnés, par courrier. La nouveauté, c’est que cette démarche peut dorénavant être effectuée directement depuis l’Espace Abonné, simplifiant ainsi le processus, comme l’indique une nouvelle page de l’assistance Free. Une nouveauté qui avait déjà été prévue par l’opérateur, et qui est maintenant opérationnelle.

Plus besoin d’envoyer de courrier ou de formulaire papier : une fois votre carte SIM ou eSIM Free activée, il vous suffit de vous rendre dans votre Espace Abonné Mobile, rubrique « Mon offre > Remboursement des frais de résiliation », pour effectuer votre demande. Vous devrez y joindre une copie lisible de la facture de votre ancien opérateur mentionnant les frais de résiliation — à l’exclusion des mois d’abonnement restants.

Des conditions à respecter

Pour bénéficier de ce remboursement, certaines conditions doivent être réunies : la facture présentée doit être au même nom et associée au même numéro que celui de votre abonnement Free Mobile. De plus, vous devez être en prélèvement automatique, un paramètre que vous pouvez vérifier et ajuster dans votre espace personnel.

Attention toutefois : la demande doit être faite dans un délai de quatre mois après l’activation de votre SIM ou eSIM. Toute demande hors délai ou non conforme aux conditions ne sera pas prise en compte et la section sera alors grisée comme ci-dessus. Une fois la demande validée, le remboursement des frais de résiliation (dans la limite de 10 €) sera effectué par virement, sur les coordonnées bancaires que vous avez fournies lors de la souscription.

Pour découvrir les offres mobile, retrouvez notre nouveau comparateur.

Les nouveautés de la semaine chez Free et Free Mobile : mettez vos serveurs Freebox à jour, et surveillez votre espace abonné, une offre peut vous attendre

C’est parti pour les nouveautés de la semaine ! Nous faisons un point sur les derniers événements marquants chez Free et Free Mobile. Si vous avez manqué l’arrivée d’un nouveau service ou une promotion au cours des sept derniers jours, c’est certainement ici que vous les retrouverez.


Nouveautés Freebox


 

Free a publié ce lundi 23 juin 2025 une nouvelle mise à jour logicielle pour les Freebox Server des modèles Révolution, Pop, Delta et Ultra. Estampillée 4.9.7, cette version corrige un bug plutôt gênant. Plus d’infos…

Abonnés Freebox, Max (HBO) peut être gratuit une seconde fois pour vous, surveillez votre espace abonné . Plus d’infos…

Abonnés Freebox et Amazon Prime : 4 nouveaux jeux PC à récupérer sans frais cette semaine. Plus d’infos…

Abonnés Freebox avec player Pop : Pluto TV continue d’enrichir son offre en intégrant deux chaînes à son offre gratuite financée par la publicité l’une est dédiée à Cheers et le retour Ciné Star Trek. Plus d’infos…

“Mary & Mike” : une série qui plonge de manière glaçante dans la dictature chilienne, le 1er épisode est offert par Filmo et Free sur L’AKTU Free. En savoir plus… 

Free va lancer une mise à jour importante de Freebox Connect avec deux nouveautés. En savoir plus… 


Nouveautés Free Mobile


Soldes Free Mobile : de nouvelles « Offres XXL, Prix XXS » sur de nombreux smartphones Plus d’infos…


Les annonces de la semaine


Free se félicite de “l’excellente qualité de ses services mobiles” suite à la publication de l’étude de l’Arcep.  Plus d’infos…

Freebox TV : une chaîne premium incluse changera de nom et de style le 15 juillet avec des nouveauté. Plus d’infos…

Disney+ fait désormais payer le partage de compte avec une nouvelle option… sauf pour beaucoup d’abonnés Freebox, Livebox etc (pour le moment. En savoir plus

Free limite un peu plus le télétravail pour ses salariés et cela passe mal auprès de certains syndicats. L’opérateur de Xavier Niel relativise aujourd’hui l’ampleur de sa mesure et se défend. En savoir plus… 

 

Totalement Fibrés : des chaînes deviennent gratuites sur la Freebox, il faut être riche pour la 5G+ chez Bouygues, etc

Nouveau numéro de votre magazine hebdomadaire “Totalement Fibrés” , en direct tous les vendredis à 17h30 et en replay sur YouTube. 

Cette semaine c’est le dernier numéro de l’année mais avec un nouveau studio. Et surtout beaucoup de nouveautés à vous annoncer, en termes de contenus et d’offres Free   Vous pouvez retrouver également nos rubriques habituelles comme le Up and Down, le chiffre de la semaine, et comme d’habitude notre  Fight hebdomadaire.

Le Wi-Fi Aware va débarquer sur les iPhone, une petite révolution

iOS 26 intègre le Wi-Fi Aware : vers la fin du casse-tête des transferts entre iPhone, Android et PC.

Avec iOS 26, Apple amorce un tournant dans l’interopérabilité de ses appareils : les iPhone et iPad compatibles pourront désormais utiliser Wi-Fi Aware, une technologie de communication directe entre appareils multiplateforme. Développé par la Wi-Fi Alliance, ce standard permet de connecter des terminaux entre eux sans point d’accès Wi-Fi ni réseau mobile, tout en restant connectés à Internet. L’objectif : faciliter les transferts de fichiers, le partage d’écran, le streaming ou encore la gestion d’accessoires entre iPhone, terminaux Android, PC, box TV et autres appareils compatibles.

À l’instar d’AirDrop ou d’AirPlay, Wi-Fi Aware fonctionne en pair-à-pair, mais il repose sur un protocole ouvert (NAN pour Neighbor Awareness Networking), déjà pris en charge par Android depuis plusieurs années. Résultat : l’échange de fichiers entre un iPhone et un smartphone Samsung ou Google devient enfin possible de manière fluide et sécurisée. Il suffit d’un jumelage initial via un code affiché à l’écran, sans passer par le cloud ou un réseau externe.

Si Apple a intégré cette technologie à son système mobile dans le monde entier, ce n’est pas par pure volonté d’ouverture. L’adoption de Wi-Fi Aware est en réalité imposée par le règlement européen sur les marchés numériques (DMA), qui pousse les grandes plateformes à garantir la compatibilité entre leurs services et ceux de leurs concurrents. Fait notable, Apple a choisi de ne pas limiter cette nouveauté au seul territoire européen.

Tous les appareils ne sont toutefois pas concernés : seuls les iPhone 12 et ultérieurs, ainsi que les iPad récents (iPad 10, iPad Air A14+, iPad Pro M1+, iPad mini 6+) prennent en charge cette fonctionnalité. En revanche, les Mac ne sont pas concernés par le DMA et macOS Tahoe ne bénéficie donc pas du Wi-Fi Aware.

Reste à savoir comment Apple exploitera cette interconnexion dans ses propres applications. Le menu de partage d’iOS 26 affichera-t-il les appareils Android à proximité comme il le fait déjà pour AirDrop ? Les développeurs adopteront-ils massivement cette API pour créer des expériences multiplateformes ? Le lancement officiel des mises à jour nous en dira plus. Une chose est sûre : avec la promesse de transferts rapides, sécurisés et sans fil, Wi-Fi Aware pourrait bien rebattre les cartes de l’écosystème Apple.

Free va lancer une mise à jour importante de Freebox Connect avec deux nouveautés

L’opérateur propose en bêta-test une nouvelle version de son application Freebox Connect, avec deux changements très intéressants. 

L’application Freebox Connect, indispensable pour gérer sa Freebox et son WiFi, vient de recevoir une mise à jour sur TestFlight. Au programme, plusieurs nouveautés notables qui améliorent l’expérience utilisateur.

On note par exemple l’arrivée d’un clavier virtuel, qui permet de saisir plus rapidement du texte avec la télécommande virtuelle sur les Freebox Révolution et Devialet. Les développeurs annoncent également une nouvelle redirection vers Oqee permettant d’accéder directement aux programmes TV directement depuis l’application. Autre petite nouveauté : il sera possible d’activer ou désactiver la LED du Server directement depuis l’application.

Seuls les participants au programme Testflight sur iOS peuvent pour l’instant en profiter, mais un déploiement grand public devrait suivre.

Ligue 1 : se faire rembourser par DAZN va être difficile

DAZN perd la Ligue 1, mais refuse les résiliations d’abonnement : que faire ?

UFC-Que Choisir alerte sur la situation délicate des abonnés à la chaîne sportive DAZN. Alors que cette dernière a prématurément perdu les droits de diffusion de la Ligue 1, elle continue à refuser les demandes de résiliation anticipée pour ses clients encore sous engagement. Une posture contestée, mais dont les recours restent incertains selon les cas.

En août 2024, DAZN obtenait une large part des droits de la Ligue 1 pour les cinq saisons à venir. Mais, après seulement quelques mois, le groupe cesse de verser les échéances à la Ligue de football professionnel (LFP), invoquant des difficultés de développement sur le marché français. Le contrat est alors rompu à l’amiable, et la chaîne a maintenu la diffusion jusqu’à la fin de la saison 2024-2025. Depuis, aucune garantie ne subsiste sur la reprise des matchs à la rentrée.

Les abonnés qui avaient rejoint la plateforme spécifiquement pour suivre la Ligue 1 se sentent lésés. Si ceux sans engagement peuvent résilier facilement, ceux liés par un contrat doivent démontrer que ce contenu était un critère essentiel de souscription. Pour ceux qui se sont abonnés au début de la saison 2024-2025, cette preuve est plus accessible, mais leur engagement annuel touche bientôt à sa fin. Pour les autres, la tâche s’avère plus complexe, à moins d’un abonnement très récent. UFC-Que Choisir pointe en outre que DAZN continue à mettre en avant la Ligue 1 sur son site alors que sa diffusion future est incertaine, ce qui pourrait relever de la pratique commerciale trompeuse.

La chaîne se défend en soulignant que la Ligue 1 n’est qu’un volet de son offre, qui inclut aussi d’autres compétitions, et invoque des clauses dans ses conditions générales stipulant que les contenus ne sont pas garantis — une clause potentiellement abusive selon l’association. DAZN évoque aussi la possibilité d’un futur partenariat avec la chaîne que la LFP envisage de lancer. Autre complexité : basée au Royaume-Uni, DAZN affirme être régie par le droit anglais. Mais le règlement européen Rome I impose l’application du droit français pour toute activité ciblant le public français, ce qui est bien le cas ici.

Dans tous les cas, les démarches juridiques restent incertaines et souvent peu rentables au vu des montants concernés. UFC-Que Choisir conseille donc de se tourner vers des organismes spécialisés comme le Centre européen des consommateurs (CEC) pour tenter d’obtenir réparation.

Abonnés Freebox et Amazon Prime : récupérez gratuitement 4 nouveaux jeux PC

Un festival d’émotions à découvrir dans la nouvelle sélection Prime Gaming de la semaine. 

Comme chaque semaine, le géant américain étoffe son catalogue de jeux proposé gratuitement dans son abonnement Amazon Prime. Prime Gaming ajoute 4 titres à son offre. Ces derniers sont disponibles pour une durée d’au moins 33 jours à compter d’aujourd’hui mais une fois récupérés, vous pourrez y jouer même après cette période. Comme d’habitude, les jeux intégrés à l’offre les semaines précédentes restent encore disponibles également. Pour rappel, Prime Gaming est inclus pour les abonnés Freebox Delta et Ultra et disponible en option pour tous les autres abonnés avec l’abonnement Amazon Prime pour 6.99€/mois.

Commençons avec Thief : Deadly shadow. Vous y incarnez, Garrett, le meilleur voleur de tous les temps. Il peut se faufiler devant n’importe quel garde, crocheter n’importe quelle serrure et s’introduire dans les résidences les plus ingénieusement sécurisées. Garrett vole aux riches et se donne à lui-même. C’est ainsi qu’il gagne sa vie dans une ville sombre et inquiétante. Le crime et la corruption y sont monnaie courante, les nobles fortunés s’en prennent aux pauvres et à leurs semblables, et la magie et les machines coexistent sans harmonie. Lassé du monde et cynique, tout ce que Garrett demande, c’est qu’on le laisse exercer son métier en toute tranquillité. Mais les choses ne se passent jamais ainsi.

Jupiter Hell est un roguelike qui se déroule dans un univers de science-fiction aux saveurs des années 90. Situé sur les lunes de Jupiter, le jeu oppose un vaisseau spatial solitaire à des forces démoniaques écrasantes. Détruisez des zombies, des démons et des monstruosités innommables à l’aide d’armes classiques telles que des fusils de chasse, des mitrailleuses et la fidèle tronçonneuse. Tout cela sous la lumière des écrans CRT et au son du heavy metal.

Stray Gods: The Roleplaying Musical est un jeu de rôle narratif unique mêlant aventure, musique et mythologie dans un univers urbain fantastique. Vous incarnez Grace, une jeune femme qui hérite des pouvoirs d’une muse et doit élucider un mystère entourant la mort de son prédécesseur avant qu’il ne soit trop tard. Vos décisions influencent l’histoire, les relations et les chansons, dans ce récit écrit par David Gaider. L’univers s’étend avec Stray Gods: Orpheus, un nouveau chapitre où vous guidez Orphée, ramené à la vie par Hermès, dans une quête existentielle ponctuée de choix cruciaux et de performances musicales. Un jeu à la croisée du visual novel, de la comédie musicale et du mythe moderne, pour une expérience assez unique.

Pour récupérer ces jeux, il faudra posséder un compte Gog, dont vous pouvez télécharger le launcher ici. Une fois votre compte créé, récupérez le code du jeu sur votre page Prime Gaming puis rendez-vous sur GoG, dans la section bibliothèque et cliquez sur le “+”. Sélectionnez “Utiliser le code GOG” et collez votre code, vous pourrez ensuite l’installer.

Gallery of Things: Reveries est un jeu d’objets cachés unique profondément influencé par le mouvement artistique fantaisiste et stimulant du Dadaïsme. S’étendant sur 36 niveaux, chaque étape est méticuleusement conçue pour constituer un défi visuel et intellectuel. Les joueurs sont plongés dans des montages mêlant le surréaliste et le familier, incitant à une contemplation plus profonde de l’interaction entre les humains, la nature et la technologie. Ce jeu est bien plus qu’un simple défi de recherche et de découverte ; c’est un voyage artistique qui captive l’esprit et remue l’âme.

Ce jeu est disponible via la plateforme Legacy Games. Il vous suffit de télécharger le launcher depuis le site de la plateforme et de vous créer un compte. Une fois ce dernier installé, récupérez le jeu depuis la page Prime Gaming dédiée. Un code vous est alors indiqué, il vous suffit de le copier-coller sur cette page en vous connectant à votre compte. Une fois cela fait, vous pourrez jouer au jeu directement depuis le launcher.

Pour découvrir les offres Freebox, retrouvez notre nouveau comparateur.

Qualité réseaux mobile : l’Arcep épingle Orange pour un réglage secret qui aurait faussé des mesures

Un paramétrage réseau discret activé par Orange sur les smartphones utilisés par l’Arcep a faussé les résultats de mesures sur la qualité des appels VoIP via applications comme WhatsApp. Le régulateur a décidé d’exclure ces données de sa publication 2024 et annonce un durcissement des règles pour ses futures campagnes.

L’Arcep a conclu, le 10 juin 2025, une enquête administrative inédite mettant en lumière un paramétrage réseau particulier d’Orange, susceptible d’avoir biaisé les résultats des mesures de qualité des appels passés via des applications comme WhatsApp. Conséquence directe : les indicateurs Voix OTT de l’opérateur sont exclus de la campagne 2024, une décision sans précédent dans l’histoire des évaluations de qualité mobile menées par le régulateur.

L’enquête, ouverte en septembre 2024, a révélé qu’Orange avait activé un réglage spécifique du mode DRX (Discontinuous Reception) sur les terminaux utilisés par l’Arcep lors de ses campagnes de test. Ce mode, censé économiser la batterie en réduisant l’activité du smartphone, a été configuré pour améliorer la performance des appels OTT. Or, ce paramétrage n’a été observé que sur le réseau d’Orange et uniquement sur les terminaux de mesure du régulateur, soulevant de sérieux doutes sur la représentativité des résultats.

L’Arcep précise que ce biais n’a eu aucun impact sur les mesures de débit, de navigation ou de streaming, ces usages étant trop actifs pour permettre l’activation du mode DRX. En revanche, les appels OTT, très sensibles à la latence et à la régularité du signal, ont pu être artificiellement favorisés.

La formation RDPI de l’Arcep a donc décidé d’écarter huit indicateurs liés à ces appels pour Orange dans son rapport 2024, tout en maintenant les autres résultats (appels classiques, SMS, débits), jugés non affectés. Orange a réagi dans un communiqué, affirmant avoir ajusté son réseau en 2024 pour « fournir la meilleure expérience client » et « prendre note » de la décision du régulateur, qui n’influe pas sur le classement général.

Pour éviter toute situation similaire à l’avenir, l’Arcep annonce un renforcement de son dispositif : dès 2025, les opérateurs devront déclarer à l’avance les réglages spécifiques de leur réseau, afin de garantir la transparence et l’équité des campagnes de mesure.

Grève chez Free : l’opérateur assure qu’il n’y aura aucun impact sur ses abonnés et s’explique sur la pomme de discorde

Free limite un peu plus le télétravail pour ses salariés et cela passe mal auprès de certains syndicats. L’opérateur de Xavier Niel relativise aujourd’hui l’ampleur de sa mesure et se défend.

Free réagit à l’annonce d’un préavis de grève déposé par les syndicats FO et Printemps Écologique à partir du 1er juillet, en réponse à sa nouvelle charte télétravail jugée régressive. Interrogée par Les Échos, la direction affirme que ce mouvement social n’aura « aucun impact sur les abonnés ».

L’opérateur confirme bien l’entrée en vigueur de la charte contestée, tout en relativisant sa portée. Seuls 15 % des quelque 12 000 salariés du groupe seraient concernés, soit ceux dont le métier permet effectivement le télétravail. Free justifie sa position par un besoin de « collaboration, de proximité et de rapidité dans les échanges », critères jugés plus difficiles à maintenir à distance. Free indique également « que 85 % de nos collaborateurs ne télétravaillent pas : tous ceux qui travaillent au contact de nos abonnés en boutique, en Free Proxi, en centres d’appel, sur le terrain ».

Cette nouvelle organisation réduit le télétravail à six jours par mois maximum, interdit les jours consécutifs à distance, et limite à deux les vendredis télétravaillés. Une approche plus stricte que chez les concurrents : Orange autorise selon nos confrères douze jours de télétravail par mois, tandis que SFR et Bouygues Telecom permettent deux jours par semaine, avec une restriction similaire chez ce dernier.

La direction de Free avait déjà supprimé le télétravail dans ses centres d’appels fin 2024, invoquant des enjeux de cybersécurité. Les syndicats dénoncent pour leur part un dialogue social dégradé et un refus de négociation sur le fond.

Orange confronté à une panne mobile importante, un retour progressif à la normale pour ses abonnés en France mais…

Des perturbations sur le réseau mobile d’Orange en France mais aussi en roaming à l’étranger.

Dans la soirée du jeudi 26 juin, aux alentours de 22h, de nombreux abonnés Orange ont été confrontés à des ralentissements sur le réseau mobile de l’opérateur. Orange a rapidement confirmé sur X l’existence d’un « problème technique » impactant la qualité du service.

Très réactif, l’opérateur historique a indiqué dans un premier message que ses équipes étaient « mobilisées pour rétablir la qualité du réseau dans les plus brefs délais » tout en présentant ses excuses aux abonnés concernés.

Après une nuit de travail, Orange a annoncé ce vendredi 27 juin, peu après 7h30, que les perturbations étaient terminées pour l’ensemble de ses clients situés en France. En revanche, les services demeurent partiellement affectés pour les abonnés en itinérance à l’étranger. « Nos équipes sont mobilisées », a ajouté l’opérateur, sans toutefois préciser les causes exactes de la panne ni la durée totale des perturbations.

Fibre optique : l’Arcep s’assure qu’Orange traite Free, Bouygues, SFR, etc sur un pied d’égalité, l’opérateur historique est en règle

Pouvoir choisir librement son fournisseur d’accès à la fibre, sans craindre que ce choix soit ralenti ou compromis par des pratiques opaques, c’est l’objectif d’audits menés par l’Arcep. Le dernier en date concerne Orange en tant qu’opérateur d’infrastructures.

Des résultats rassurants. Orange utilise les mêmes outils pour toutes les étapes de traitement des commandes, qu’il s’agisse de ses propres abonnés ou de ceux d’un concurrent. Et il n’existe pas, selon l’Arcep, de « porte dérobée » lui permettant d’avantager ses offres commerciales. C’est ce qui ressort un nouvel audit du régulateur portant sur les systèmes d’information d’Orange liés aux raccordements à la fibre optique sur demande.

L’Autorité de régulation des télécoms (Arcep) publie les résultats d’un nouvel audit portant sur les systèmes d’information d’Orange liés aux raccordements à la fibre optique sur demande. Une opération technique mais aux enjeux bien concrets : garantir aux consommateurs un accès équitable à la fibre, quel que soit leur opérateur.

En France, la fibre optique jusqu’à l’abonné (FttH) est déployée par des opérateurs d’infrastructure (comme Orange ou SFR), mais elle est utilisée par plusieurs fournisseurs d’accès à Internet (Free, Bouygues Telecom, etc.). Pour garantir une concurrence saine, la loi impose que tous les opérateurs commerciaux aient un accès équitable aux réseaux FttH, sans traitement de faveur pour l’opérateur qui possède le réseau.

C’est dans ce cadre que l’Arcep mène régulièrement des audits pour vérifier que les systèmes d’information utilisés pour la gestion des commandes, des raccordements et des accès ne favorisent pas un acteur au détriment des autres.

Ce que l’Arcep a vérifié chez Orange

L’Arcep a ainsi audité les outils d’Orange qui gèrent les demandes de raccordement dans les immeubles aujourd’hui non encore fibrés, mais déclarés raccordables sur demande. Ces demandes sont déclenchées lorsqu’un client souhaite s’abonner à la fibre via son fournisseur d’accès, même si l’immeuble n’est pas encore effectivement raccordé.

Conformément à ses engagements pris devant l’État, Orange s’est engagé à raccorder sous 6 mois ces immeubles, sauf blocage ou refus du propriétaire. Une avancée importante, mais qui augmente mécaniquement le nombre de commandes à traiter. D’où l’importance d’un système neutre pour gérer ces demandes.

L’Arcep a ainsi examiné la mise à disposition des informations sur les locaux raccordables sur demande, le traitement des commandes, leur validation et le suivi ou encore la gestion des quotas (un système limitant le nombre de commandes par opérateur pour lisser la charge). Sur ce point, celui-ci le système semble équitable fait savoir le régulateur, aucun opérateur n’est privilégié dans le traitement de ses demandes.Des résultats rassurants

Derrière ces procédures techniques se cache un enjeu essentiel pour les usagers : pouvoir choisir librement son fournisseur d’accès à la fibre, sans craindre que ce choix soit ralenti ou compromis par des pratiques opaques.

En s’assurant que tous les opérateurs sont traités sur un pied d’égalité, l’Arcep défend une concurrence saine, garante de meilleurs services et de tarifs compétitifs. Et c’est aussi une manière de surveiller de près les géants du secteur pour éviter que leur position dominante n’entrave l’accès effectif à la fibre pour tous.

L’Autorité promet de poursuivre ses audits sur d’autres opérateurs pour veiller à la bonne application de ces principes de neutralité et de transparence.

TF1 annonce de nouveaux contenus 4K sur les Freebox compatibles

De nouveaux contenus 4K sur la Freebox en juillet pour les abonnés qui disposent du matériel compatible.

Outre les quelques chaînes 4K de la Freebox qui diffusent 100% de leurs contenus en format UHD (France 2 UHD , Festival 4K et plus récemment Museum TV 4K) il existe également les déclinaisons de de TF1 et M6 version 4K, mais avec uniquement quelques programmes en UHD. C’est donc le cas de TF1 4K, canal 101 de Freebox TV, disponible gratuitement pour les abonnés Freebox idoines, à savoir Delta, Pop, One, Mini 4K et Ultra, qui va lancer de nouveaux contenus en 4K pour le mois de juillet.

Il s’agit de :

Camping Paradis (2 épisodes UHD) : le lundi 14 juillet à 21h10

Ninja Warrior (Upscale) : toute la saison à partir du 4 juillet à 21h10

TF1 4K, est disponible et incluse pour les abonnés disposant d’un débit supérieur à 17 Mbits/s et équipés d’une Freebox 4K, One, Pop,Delta et Ultra (la Freebox Révolution n’est, elle, pas compatible 4K) Cela concerne donc les Freenautes disposant d’un Player mini 4K en multi TV.  Pour profiter de l’Ultra Haute Définition il est bien sûr nécessaire de disposer d’un téléviseur 4K, même si la chaîne est accessible sur un simple téléviseur HD.

Free se félicite de “l’excellente qualité de ses services mobiles” suite à la publication de l’étude de l’Arcep

Ainsi que nous vous le rapportions en fin d’après midi, l’Arcep a publié les résultats de sa campagne du 2ème trimestre 2024 sur la qualité des services mobiles en métropole qui s’est déroulée entre mai et juillet 2024.

A la suite de cette publication, Free a publié un communiqué de presse dans lequel il se félicite de “l’excellente qualité de ses services mobiles et indique que cette étude “montre que la qualité globale des, services mobiles de Free se maintient à un excellent niveau.

Free, 1er ou 2ème sur une majorité d’indicateurs

Comme le précise Free, l’analyse détaillée des résultats de la campagne 2024 de l’Arcep montre que :

• Free se classe à la 1ère ou 2ème place ex aequo sur plus de la moitié des indicateurs, soit 147 indicateurs sur 258 au total.

• Pour les axes de transport, les zones rurales et dans les villes de taille moyenne, Free se classe 1er ou 2ème sur 68 % des indicateurs.

• Dans les zones rurales et les villes de taille moyenne, Free enregistre des performances remarquables sur les débits descendants et montants et sur le
streaming vidéo, se classant ainsi 1er ou 2ème pour près de 95 % des indicateurs correspondants.

Free indique par ailleurs qu’il poursuit ses efforts pour renforcer au quotidien la qualité de ses services mobiles. A date, l’opérateur couvre 99% de la population en 4G et 95% de la population en 5G avec le 1er réseau 5G de France en nombre de sites.

Et de préciser que depuis le 2ème trimestre 2024, la performance du réseau mobile de Free s’est ainsi améliorée :

• le réseau s’est encore densifié, avec le déploiement de plus de 2000 nouveaux sites partout en France ;

• la 5G+ de Free a été lancée à l’échelle nationale – et ce pour la 1ère fois en France – en septembre 2024.

• la VoNR3 a été activée sur le réseau Free en septembre 2024 – pour la 1ère fois en France également.

A l’occasion de la publication de cette étude, Nicolas Thomas, Directeur Général de Free, a déclaré que « Ces résultats confirment la solidité de notre réseau mobile, ainsi que la pertinence de nos choix technologiques. Etre classé n°1 de la satisfaction abonné et figurer en tête sur la majorité des indicateurs de qualité, c’est une belle reconnaissance du travail de nos équipes sur le terrain. Nous allons poursuivre nos investissements pour offrir à tous les Français un service mobile toujours plus performant, accessible et innovant ».

Qui de Free, Orange, Bouygues ou SFR offre les meilleures performances mobile ? L’ARCEP dévoile tout dans sa nouvelle étude

L’Arcep vient de publier les résultats de sa campagne annuelle 2024 de mesure de la qualité de service des opérateurs mobiles en France. Cette enquête repose sur plus d’un million de mesures réalisées entre mai et juillet 2024, couvrant les lieux de vie (intérieur et extérieur des bâtiments) ainsi que les transports (routes, métros, trains).

Les résultats montrent une qualité de service Voix/SMS et internet mobile élevée, avec des débits améliorés dans les zones denses, intermédiaires et rurales, malgré quelques écarts.

Mesures “voix et SMS”

Pour l’indicateur d’appels en qualité parfaite (le taux d’appels maintenus pendant deux minutes et sans perturbations audibles) :

  • Au niveau national, 90% des appels sont considérés en qualité parfaite pour Orange devant Bouygues Telecom (87%), SFR (85%) et Free Mobile (84%).
  • En zones denses, Bouygues Telecom (95%) et Orange (94%), devancent SFR (92%) et Free Mobile (90%).
  • En zones intermédiaires, Bouygues Telecom (91%) et SFR (90%) sont derrière Orange (93%) ; Free Mobile étant à 88% d’appels en qualité parfaite.
  • En zones rurales, 82% des appels sont en qualité parfaite pour Orange devant SFR et Bouygues Telecom (75%) et Free Mobile (73%).

Concernant les appels sans coupure (taux d’appels réussis et maintenus pendant deux minutes) : Orange affiche à l’échelle nationale 96% de succès devant Bouygues Telecom (94%), SFR et Free Mobile (92%).

L’indicateur de qualité moyenne des appels est élevé pour tous les opérateurs et leurs performances sont très proches : les écarts sont en effet très faibles entre les notes de Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile (4,44 en moyenne sur l’ensemble des zones).

Des SMS délivrés rapidement avec des performances élevées pour les quatre opérateurs

La réception d’un SMS en moins de 10 secondes avec un haut niveau de performance témoigne d’une qualité élevée et très proche des quatre opérateurs sur cet indicateur. Les résultats sont les suivants : Orange (96%), Bouygues Telecom (95%), SFR et Free Mobile (94%).

Au regard des conclusions de l’enquête administrative menée par la formation RDPI, l’Arcep ne publie cette année que les résultats de Bouygues Telecom, Free Mobile et SFR. En communication réussie, tous usages et toutes strates confondues, les trois opérateurs sont ex-aequo et affichent un bon niveau de performance, avec un taux de réussite global de 92%.

La qualité des appels Voix OTT (taux d’appels maintenus pendant deux minutes sans perturbation audible) varie selon les opérateurs : Bouygues Telecom (88%) et SFR (87%) devancent Free Mobile (76%).

Mesure de l’internet mobile

L’indicateur de débits descendants utilisés par l’Arcep intègre trois seuils – 3, 8 et 30 Mbit/s – correspondant à des niveaux d’exigence différenciés selon les usages :

  • 3 Mbit/s : débit adapté aux usages les moins exigeants de l’Internet mobile tels que la navigation Web ;
  • 8 Mbit/s : débit adapté aux usages les plus courants, tels que le visionnage vidéo ;
  • 30 Mbit/s : débit adapté aux usages les plus exigeants, comme l’utilisation d’outils collaboratifs dans un cadre professionnel.

Les différents seuils de qualité de service mobile reflètent l’expérience des utilisateurs et sont déclinés selon le type de zones (denses, intermédiaires, rurales). Cette approche a également pour bénéfice de ne pas créer d’incitation à une course au débit maximum chez les opérateurs, et de s’inscrire dans la démarche « Pour un numérique soutenable » initiée par l’Arcep.

Pour les trois seuils de débits descendants – toutes zones d’habitation confondues – : SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile suivent Orange

 

 

En zones rurales où les débits constatés sont inférieurs à ceux des autres zones chez tous les opérateurs pour tous les seuils de cet indicateur, Free Mobile et SFR sont ex-aequo derrière Orange et devancent Bouygues Telecom. En zones denses, Bouygues Telecom, Orange et SFR affichent des résultats similaires et devancent Free Mobile

Les mesures liées au visionnage de vidéo et à la navigation web ont une qualité élevée et très proche pour les quatre opérateurs en zones denses

Concernant le visionnage de vidéo (streaming) en qualité parfaite en 2G/3G/4G/5G, en zones denses : Bouygues Telecom et Orange affichent un taux de 98%, SFR 97% et Free 96%. En zones rurales, Orange se démarque (92%) devant Free Mobile (86%) et SFR (85%), devant Bouygues Telecom (81%).

Quant à la navigation web en zones denses, respectivement 98% et 97% des pages sont chargées en moins de 10 secondes chez Bouygues Telecom et Orange, devant SFR (96%) et Free Mobile (95%)5. En zones rurales, Orange (88%) est suivi de Free Mobile (85%), puis SFR (81%) et enfin Bouygues Telecom (80%).

Mesure “axe de transport”

Qualité des appels (appels réussis et maintenus deux minutes) :

Concernant les appels sur les routes, Orange (avec 92% de succès), Bouygues Telecom (91%), SFR (90%) devancent Free Mobile (87%).

Dans les trains, les résultats sont plus contrastés, notamment dans les TGV où Orange se démarque avec 78% des communications maintenues sur les TGV, suivi de Free Mobile (60%), Bouygues Telecom (59%) et SFR (56%).

Sur les Intercités et TER, Orange affiche 67% de succès, devant Bouygues Telecom (60%), SFR et Free Mobile (59%).

Sur le réseau RER et Transiliens, Orange réussit et maintient 86% des appels, Bouygues Telecom 84%, SFR et Free Mobile (80%).

Dans les métros, les performances sont globalement très bonnes, Bouygues Telecom atteint 98% de succès, Orange 96%, SFR 95% et Free Mobile 94%.

Qualité de service internet

En moyenne, tous opérateurs confondus, la qualité de service internet sur les axes routiers reste élevée, avec près de 94% des pages web affichées en moins de 10 secondes. En revanche, la situation est plus contrastée sur les axes ferrés : seulement 73% des pages web s’affichent en moins de 10 secondes dans les TGV, et 74 % dans les Intercités et TER. La navigation est plus fluide dans les RER et Transiliens (87%) ainsi que dans les métros (97%).

Pour le test de navigation web (affichage de pages en moins de 10 secondes) :

–          sur les routes, SFR (94%), Bouygues Telecom et Free Mobile (93%) affichent des performances proches, derrière Orange qui atteint 96%.

–          sur les axes ferrés de longue distance TGV, Orange se démarque également, 82% des pages s’affichent en moins de 10 secondes, contre 72% pour Free Mobile, 69% pour SFR et 68% pour Bouygues Telecom.

–          dans les Intercités et TER, Orange affiche un taux de succès de 79%, suivi par Free Mobile (74%), SFR (73%) et Bouygues Telecom (71%).

–          sur les axes ferrés franciliens (RER et Transiliens), Orange présente la meilleure performance avec 91%, devançant Bouygues Telecom (87 %) ainsi que SFR et Free Mobile (86%).

–          dans les métros, les quatre opérateurs présentent un très bon niveau de performance : Orange et SFR atteignent 98%, Bouygues Telecom et Free Mobile 97%.

 

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Le saviez-vous : Free propose une option gratuite à activer, idéale pour les familles d’abonnés Freebox

Un contrôle parental performant et gratuit pour protéger votre famille, c’est possible chez Free.

Free pense aux familles. En parallèle d’offres premium de cybersécurité en partenariat avec McAfee qu’il propose, l’opérateur permet depuis plus de deux ans à ses abonnés Freebox d’activer gratuitement une solution de contrôle parental baptisée Safe Family, conçue pour mieux encadrer la navigation des enfants.

“L’option contrôle parental vous permet de surveiller les contenus que vos enfants visionnent en ligne sur le web ou depuis leur smartphone, en bloquant ceux qui sont inappropriés et en gérant leur temps d’écran, même en votre absence”, présente l’opérateur.

Contrairement à l’outil intégré dans Freebox OS, souvent perçu comme trop technique, Safe Family se veut plus accessible. Directement depuis leur espace abonné, les utilisateurs peuvent activer cette nouvelle option depuis la rubrique “Abonnement”. L’offre est gratuite et signalée comme “incluse sur demande”. Une fois activée, un e-mail est envoyé avec un code d’activation et les liens pour télécharger l’application dédiée sur mobile ou PC.

Développée par McAfee, l’application permet de localiser les appareils des enfants, de filtrer les sites inappropriés, de surveiller leur activité en ligne ou encore de gérer leur temps d’écran, le tout depuis un tableau de bord parental. L’objectif : offrir un environnement numérique plus sûr sans surcoût.

 

Attention toutefois, cette solution ne peut être cumulée avec l’abonnement McAfee Sécurité payant. Ce dernier intègre déjà des fonctions de contrôle parental, en plus de protections antivirus avancées.

Orages, intempéries : que faire quand Canal+ ne fonctionne plus ?

Orages, vents violents, et même parfois neiges… Certaines conditions météo peuvent temporairement priver les abonnés de leurs chaînes CANAL+. La plateforme partage ses consignes officielles pour tenter de rétablir le signal par soi-même, ou savoir quand il vaut mieux faire appel à un professionnel.

Entre orages d’été, bourrasques hivernales ou chutes de neige, les conditions météo peuvent sérieusement perturber la réception de votre décodeur CANAL+, notamment si vous êtes équipé d’une parabole satellite. En cas de panne ou d’image figée, pas de panique : voici les recommandations officielles de CANAL+ pour tenter de rétablir la situation rapidement, sans danger.

1. Attendez quelques minutes

En cas de coupure soudaine, notamment lors d’un orage ou d’une tempête, CANAL+ recommande dans un premier temps de patienter quelques minutes. Il est possible que le signal revienne de lui-même une fois l’épisode passé.
2. Redémarrez électriquement votre décodeur

Si le problème persiste, effectuez un reset électrique de votre décodeur à l’aide de l’interrupteur Marche/Arrêt situé à l’arrière de l’appareil.

3. Vérifiez la qualité de réception

Depuis le menu de votre décodeur satellite, allez dans :

  • Réglages antenne > puis appuyez sur OK
  • Accédez à l’écran Pointage antenne
  • Vous pouvez alors vérifier la réception , soit par chaîne, soit par fréquence, en consultant le plan de fréquences

Profitez-en pour contrôler le câble d’antenne, en vous assurant qu’il est bien connecté et en bon état.
4. En cas de neige : attention aux risques

Si votre parabole est accessible en toute sécurité, vérifiez qu’elle n’est pas recouverte de neige. Si c’est le cas, vous pouvez la dégager manuellement.

Important : n’essayez pas de l’atteindre si cela présente un danger (échelle instable, toiture glissante…). Dans ce cas, mieux vaut attendre que les conditions s’améliorent, et en attendant, utiliser l’application myCANAL sur un autre appareil (mobile, tablette, TV connectée…).

5. Vérifiez l’orientation de la parabole

Si aucune amélioration n’est constatée, il se peut que l’orientation de votre antenne ait été déréglée par le vent. Dans ce cas, seuls des professionnels équipés d’appareils de mesure adaptés peuvent réaliser un diagnostic fiable. Le Service CANAL peut intervenir pour réajuster votre installation.

6. Cas des antennes collectives

Si vous êtes connecté via une antenne satellite collective, rapprochez-vous de votre syndic ou gestionnaire d’immeuble : c’est à lui de faire appel à un technicien pour la vérification de l’installation commune.

 

Google Chrome : la version Android rattrape celle sur iPhone avec cette nouveauté

Un bel ajout qui pourra faciliter la vie d’utilisateurs de Chrome sur Android : la barre d’adresse peut enfin être déplacée en bas de l’écran.

Bonne nouvelle pour les utilisateurs de Chrome sur Android : il est désormais possible de positionner la barre d’adresse en bas de l’écran, une option longtemps réservée aux iPhones.

Google a officialisé cette nouveauté sur son blog. Deux méthodes sont proposées pour changer l’emplacement de la barre : effectuer un appui long dessus puis sélectionner « Déplacer la barre d’adresse », ou passer par les paramètres du navigateur, dans la section dédiée à la barre d’adresse.

Ce changement vise à améliorer l’ergonomie, en particulier pour les utilisateurs de smartphones aux écrans imposants ou ceux ayant de petites mains. Plus besoin d’étirer le pouce jusqu’en haut de l’écran pour saisir une URL ou lancer une recherche.

Le déploiement de cette fonctionnalité est en cours et devrait arriver chez tous les utilisateurs dans les prochaines semaines.

Orange offre six mois d’abonnement à Disney+ à tous ses abonnés box, même Sosh, mais il faudra faire vite

Une vente flash Disney+ à ne pas manquer chez Orange, 6 mois d’essai gratuits, sans engagement. 

Cinéphiles et fans de séries, c’est le moment idéal pour plonger dans l’univers Disney+. Orange lance une vente flash exceptionnelle, valable jusqu’au 2 juillet 2025, permettant de découvrir l’offre Disney+ Standard avec pub gratuitement pendant 6 mois, sans engagement. Une promotion réservée aux abonnés Orange (internet + TV) et Sosh, n’ayant pas été abonnés à Disney+ au cours des 12 derniers mois.

L’abonnement inclut un accès en Full HD sur 2 écrans simultanés, un audio jusqu’à 5.1, mais évidemment de la publicité lors du visionnate de contenus. Une fois la période d’essai termineé, vous pouvez résilier ou continuer l’aventure, en payant 5.99€/mois. La plateforme propose n catalogue ultra riche, avec les dernières sorties cinéma des studios Disney, Pixar, Marvel, Star Wars, mais aussi des pépites 20th Century Studios et Searchlight Pictures, disponibles neuf mois après leur sortie en salle. En plus des blockbusters récents, Disney+ propose chaque semaine des nouveautés, ainsi qu’un large choix de classiques et de séries cultes pour toute la famille.

Voici comment en profiter :

  • Souscrivez à l’offre
    Depuis l’écran de votre téléviseur Orange (chaîne 68), l’application TV d’Orange, ou via le site orange.fr, choisissez l’option Disney+ dans votre espace client.
  • Activez votre compte Disney+
    Une fois l’option souscrite, vous recevrez un lien d’activation par e-mail et/ou SMS. Cliquez sur ce lien pour créer ou lier un compte Disney+.Vous avez déjà un compte Disney+ ? Vous pouvez utiliser vos identifiants habituels, et lier votre abonnement Orange sans perdre vos préférences.

Une fois activé, vous pouvez accéder aux contenus Disney+ depuis la chaîne 68 de la TV d’Orange, ou sur le site disneyplus.com ou l’application Disney+ (mobile, tablette, TV connectée…). A noter par ailleurs que cette offre peut être d’autant plus intéressante pour les abonnés Livebox Max, qui bénéficient d’une remise de 5€ sur l’abonnement à Disney+, donc qui peuvent en profiter pour 0.99€/mois après les six premiers mois. A noter cependant, cette offre n’est disponble que pour  ceux ayant souscrit à l’offre Livebox Max et s’étant abonné à Disney+ dans les 3 mois suivant la mise en service de l’offre Livebox Max.

Freebox TV : une chaîne premium incluse changera de nom et de style le 15 juillet avec des nouveautés

Nickelodeon Teen va devenir Nicktoons. La chaîne sera désormais dédiée à l’animation.

Changement d’identité pour Nickelodeon Teen. À compter du 15 juillet, la chaîne jeunesse du groupe Paramount laissera place à Nicktoons, dans une nouvelle version entièrement consacrée à l’animation.

Exit les programmes en prises de vues réelles tournées vers l’humour, l’aventure ou la science-fiction : Nicktoons, disponible notamment sur le canal 152 des Freebox (incluse), misera exclusivement sur les dessins animés, avec une grille pensée pour séduire aussi bien les enfants que les adolescents. Cette transformation s’inscrit dans une stratégie internationale visant à harmoniser l’offre jeunesse autour de marques fortes.

Parmi les nouveautés mises à l’honneur dès le lancement, plusieurs séries inédites feront leurs débuts en France. C’est le cas de Sonic Prime, nouvelle aventure trépidante du célèbre hérisson bleu, ou encore des Hamsters de Hamsterdam, une série pleine d’humour où des rongeurs se rêvent super-héros. Les aventures temporelles de Sammy & Raj, où deux cousins jouent avec le temps, viendra compléter cette programmation.

Les franchises emblématiques de Nickelodeon ne seront pas oubliées. Bob l’Éponge, Alvinnn !!! et les Chipmunks, Avatar, le dernier maître de l’air ou encore Kung-Fu Panda et Les Pingouins de Madagascar resteront au rendez-vous pour le plus grand plaisir des fidèles. Disponible aussi chez Canal+, Orange, SFR, Bouygues Telecom et Molotov, Nicktoons ambitionne de devenir une chaîne de référence pour l’animation jeunesse en France.

Source : Planète CSAT

Amazon l’assure, résilier un service sur Prime Video, c’est souvent juste une pause pour les abonnés

Prime Video met en avant un atout-clé pour les plateformes de streaming : les abonnés reviennent facilement.

Lors de sa conférence Prime Video Engage à Culver City, Amazon a insisté sur un message central à destination de ses partenaires et futurs partenaires de contenus : les abonnés qui partent finissent souvent par revenir. En effet, Amazon a transformé Prime Video en véritable place de marché du streaming. Plutôt que de proposer un bouquet figé, la plateforme permet aux utilisateurs de s’abonner à la carte à des services tiers comme HBO Max, Paramount+, ou encore Crunchyroll, tout en centralisant la facturation. Ce système facilite l’accès aux contenus, simplifie la gestion des abonnements et offre aux partenaires une visibilité accrue auprès des 200 millions d’abonnés Prime dans le monde. Le tout avec des offres d’essai, souvent gratuites, pour attirer le client.

Jonathan Carson, PDG du cabinet Antenna, a présenté des chiffres révélateurs, 1 abonné sur 5 revient dans les 4 mois après avoir annulé un service. 1 sur 3 revient dans l’année, selon lui, « ils ne résilient pas vraiment, ils mettent en pause. » Amazon s’appuie sur cette logique de retour naturel pour promouvoir son portail de chaînes à la carte, qui permet à ces services de gagner en visibilité auprès des 200 millions de membres Prime dans le monde — et bien au-delà, via l’écosystème Amazon.

Le retour d’HBO Max sur la plateforme en 2022, après un désaccord initial, a par exemple permis de générer 2,3 millions d’abonnements en un an, selon Amazon. Des résultats que la plateforme attribue directement à sa capacité à réengager les utilisateurs. En parallèle, les dirigeants de Prime Video ont mis en avant leurs investissements dans la personnalisation par l’IA, les formats publicitaires interactifs et une expérience utilisateur fluide, pensée pour encourager la fidélisation.

Source : Variety

Offert dans sa version Pro aux abonnés Free Mobile, Le Chat nommée l’IA la plus respectueuse des données privées

Le Chat de Mistral AI : l’IA la plus respectueuse de la vie privée en 2025 selon une étude.

Alors que l’intelligence artificielle générative s’impose dans notre quotidien, une question devient centrale : à quel point ces outils respectent-ils notre vie privée ? Pour y répondre, l’entreprise Incogni, spécialisée dans la suppression des données personnelles en ligne, a passé au crible les principales plateformes d’IA à l’aide de 11 critères liés à la transparence, la gestion des données et les pratiques de formation des modèles.

La France en haut du classement

Le Chat, développé par la start-up française Mistral AI et offert pendant un an aux abonnées Free Mobile dans sa version Pro, arrive en première position du classement général, devant ChatGPT (OpenAI) et Grok (xAI). C’est l’outil le moins intrusif en matière de données personnelles. Incogni met en avant notamment trois points importants :

  • Une collecte de données limitée, bien en deçà de celle pratiquée par les géants du secteur.
  • La possibilité de refuser l’utilisation de ses prompts (messages ou requêtes) pour entraîner les modèles.
  • Une politique respectueuse des signaux de non-indexation (robots.txt), contrairement à d’autres acteurs.

Si Mistral perd quelques points sur la transparence, notamment dans la clarté de sa documentation, il compense par des pratiques globalement sobres et respectueuses.

Le Chat se distingue aussi sur mobile : ses applications Android et iOS figurent parmi les moins gourmandes en données personnelles, selon l’analyse des autorisations et des partages effectués par les apps. Aucune donnée sensible comme la géolocalisation, les contacts ou le contenu photo n’est collectée ni transmise à des tiers.

À l’autre bout du spectre, Meta AI (Meta), Gemini (Google) et Copilot (Microsoft) sont les plateformes les plus invasives. Elles combinent :

  1. Une collecte massive d’informations personnelles, parfois issues de sources externes comme des courtiers en données.
  2. Une impossibilité pour l’utilisateur de refuser que ses messages servent à entraîner les modèles.
  3. Des politiques de confidentialité longues, complexes et souvent floues quant aux données réellement utilisées.

Incogni souligne que, malgré une collecte généralisée de données depuis des sources publiques, les différences de pratiques entre les acteurs sont significatives. Le classement met en lumière la possibilité de développer une IA puissante sans compromettre la vie privée des utilisateurs. En cela, Mistral AI et son Chat montrent la voie.

Xavier Niel et la maison-mère de Free au final endettés de 21 milliards d’euros, mais cela n’inquiète pas le marché

Iliad est très endetté, mais cette dette est en grande partie concentrée au niveau de la holding. Le groupe reste rentable, possède des actifs solides, et conserve la confiance des marchés.

Le groupe Iliad, maison mère de Free, s’est imposé comme un acteur incontournable des télécoms en France… mais aussi en Europe et au-delà. Cette expansion rapide s’est accompagnée d’un endettement impressionnant, notamment au niveau de sa holding, qui dépasse aujourd’hui 20 milliards d’euros. Pourtant, la situation n’est pas forcément alarmante.

De quelle Iliad parle-t-on ?

Il est important de distinguer Iliad SA, la société historique qui regroupe les activités télécoms du groupe, qui affichait une dette d’un peu plus de 10 milliards d’euros en fin d’année dernière et une bonne rentabilité, d’Iliad Holding. Cette dernière, créée lors du retrait de la Bourse en 2021, regroupe toutes les participations du groupe (Free, Play en Pologne, Télé2 en Suède, Millicom en Amérique latine…). C’est elle qui concentre l’ensemble de l’endettement, à hauteur de 20,9 milliards d’euros fin 2024.  Ce montage permet à Xavier Niel de piloter ses acquisitions depuis une seule entité… mais aussi d’isoler les risques.

Depuis 2018, Iliad Holding a multiplié les acquisitions et expansions à l’international : en Italie avec le lancement d’un nouvel opérateur, en Pologne via les rachats de Play et UPC, dans les pays nordiques à travers une prise de participation dans Télé2 ou encore en Amérique Latine, via l’acquisition progressive de 40 % du groupe Millicom. Ces investissements ont souvent été financés par de la dette. Par exemple, l’intégration d’Atlas Investissement (société contrôlée par Xavier Niel, détentrice des parts de Millicom) a à elle seule alourdi la dette de 5,6 milliards d’euros.

Faut-il s’en inquiéter ?

Malgré le montant élevé, plusieurs signaux rassurants permettent de relativiser, explique l’opérateur et l’agence de notation Moody’s à l’Informé. L’opérateur peut se targuer de posséder des actifs de valeur : Iliad Holding possède plusieurs milliards d’euros en participations revendables (par exemple, ses 20 % de Télé2 valent aujourd’hui plus du double de leur prix d’achat). De plus, Iliad SA a généré 10,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2024, en croissance de 7,1 % – bien mieux que la plupart de ses concurrents.

D’autant que la dette est apparemment maîtrisée : le ratio dette/Ebitda (nombre d’années nécessaires pour rembourser la dette avec les profits) est de 3,5 chez Iliad Holding, un niveau jugé raisonnable par les agences de notation. En comparaison : 2,7 pour Iliad seul, 2,4 pour Millicom… et plus de 4,8 pour SFR. Les agences Moody’s et Fitch ont relevé la perspective de la dette d’Iliad Holding à « positive », signe qu’elles envisagent d’améliorer sa note à l’avenir. Aujourd’hui, Iliad Holding reste dans la catégorie “investissement”, avec une note Baa3. C’est mieux que SFR (jugée très spéculative), mais un peu en dessous d’Orange.

Free offre un nouveau petit cadeau aux abonnés Freebox

“Mary & Mike” : une série qui plonge de manière glaçante dans la dictature chilienne, le 1er épisode est offert par Filmo et Free sur L’AKTU Free.

Ce 26 juin, Oqee by Free annonce sur X la gratuité d’un nouveau contenu directement sur les Freebox dans le cadre d’un partenariat avec Filmo. Il s’agit du 1er épisode de Mary & Mike, une série inspirée de faits réels, disponible sur l’Aktu Free.

Cette fiction entraîne dans les années noires de la dictature d’Augusto Pinochet. Elle retrace l’histoire de Mary et Mike, un couple d’agents secrets en apparence ordinaire, mais chargés d’exécuter les basses œuvres du régime comme des écoutes illégales, meurtres ciblés et disparitions d’opposants. Entre vie familiale et missions sanglantes, la série brosse un portrait glaçant du terrorisme d’État. Pour voir la suite, il faudra s’abonner à Filmo.

Découvrez l’offre Freebox Pop.

Orange cherche à séduire davantage SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile pour booster la faible occupation de ses pylônes

Totem, la filiale dédiée à la gestion de sites mobiles d’Orange ambitionne toujours d’en accroître la rentabilité même si tout ne va pas aussi vite que prévu.  L’opérateur historique mise aujourd’hui sur l’innovation numérique pour convaincre ses rivaux de mieux exploiter son patrimoine d’infrastructures.

Quatre an après sa création, Totem gère plus de 26 000 pylônes et toits-terrasses en France et en Espagne, dont 19 155 sur le territoire national. Mais si la rentabilité est au rendez-vous, la croissance du chiffre d’affaires stagne, autour de 700 millions d’euros. En France, ça coince au niveau du  taux d’occupation moyen par site, lequel est passé de 1,37 en 2022 à seulement 1,42 en 2024. Le nouvel objectif est clair : atteindre 1,5 d’ici un an, révèle La Tribune.

Pour y parvenir, la filiale d’Orange espère séduire davantage ses concurrents directs, notamment SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile. Un partenariat de longue durée a d’ailleurs été signé en 2022 avec Free, permettant à l’opérateur de Xavier Niel d’accéder à l’ensemble du parc de Totem dans l’Hexagone. Cet accord visait à renforcer la couverture mobile de l’ex-trublion par un accès facilité aux infrastructures d’Orange.

Afin de faciliter la mutualisation des sites et ainsi augmenter son taux d’occupation, Totem déploie des outils numériques innovants. Parmi eux, le recours à des « jumeaux numériques », à savoir des modélisations 3D réalisées en amont des aménagements qui ont objectif de diviser par trois le temps de préparation d’un site et par quatre le nombre de déplacements nécessaires. Près de 1 000 sites en France en sont déjà équipés. Pour les pylônes, l’analyse de charge à distance ou l’inspection par caméra embarquée se substitue désormais à certaines visites physiques. L’ambition pour Totem est ainsi de créer davantage de valeur autour de ses sites sans chercher à racheter massivement de nouveaux sites à l’heure où ses rivaux ont fait le choix de vendre les leurs.

La filiale d’Iliad Scaleway lance un projet géant pour construire une « Gigafactory » européenne de l’IA

L’entité cloud de la maison mère de Free annonce ce 26 juin être à l’initiative d’AION, un consortium visant à construire des infrastructures et plateformes de haut niveau pour doper l’écosystème européen en matière d’IA. 

Scaleway veut faire passer l’Europe à la vitesse supérieure en matière d’intelligence artificielle. Le leader européen du cloud public et alternative souveraine aux hyperscalers américains, a officiellement lancé AION, un consortium réunissant des partenaires publics, privés et académiques, avec un objectif clair : bâtir une infrastructure de pointe pour renforcer la souveraineté technologique du continent.

Le projet s’inscrit dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêts lancé par la Commission européenne et l’initiative EuroHPC JU. Il vise à poser les bases d’une Gigafactory européenne de l’IA, capable de rivaliser avec les géants mondiaux du secteur.

Une infrastructure massive au cœur de l’Europe

AION prévoit le déploiement de plusieurs clusters de calcul regroupant l’équivalent de 288 000 GPU actuels NVIDIA H100, pour une puissance énergétique de 200 mégawatts. Une montée en puissance spectaculaire pour Scaleway, qui opère déjà depuis 2023 le plus grand cluster privé d’IA en France, mis à disposition des chercheurs et start-up.

Le projet repose sur trois piliers stratégiques comme “l’ambition”  avec le soutien du groupe Iliad, qui a investi 20 milliards d’euros en infrastructures en Europe sur la dernière décennie. Mais aussi la “souveraineté”, pour garantir le contrôle de toute la chaîne technologique, du matériel aux logiciels, avec un fort ancrage dans l’open source. Et enfin “l’ouverture”, en favorisant les collaborations public-privé à l’échelle européenne.

AION a d’ores et déjà obtenu le soutien de plusieurs acteurs majeurs de la tech et de la recherche, dont VSORA, Kyutai, Sopra Steria, SiPearl, Artefact, Eviden Bull, Hugging Face, ZML et H Company, ainsi que GENCI et Inria, co-pilotes du projet AI Factory France. Le consortium se veut représentatif de la diversité et de l’excellence européenne.

L’infrastructure pourrait être installée en France, grâce à OpCore, la coentreprise d’Iliad dédiée aux datacenters, en tirant parti du mix énergétique bas carbone français et de l’efficacité du réseau électrique national.

Pour Damien Lucas, Directeur Général de Scaleway, l’heure est grave : « L’Europe ne peut plus se permettre de déléguer les fondations de son avenir en matière d’IA. Avec AION, nous proposons bien plus qu’une infrastructure : nous voulons contribuer à l’indépendance, la résilience et le leadership de l’écosystème européen. »

Station F (Xavier Niel) fête ses 8 ans avec un bilan solide

Pour son anniversaire, Station F propose un tour d’horizon de son avancée et de son fonctionnement. Inquiétudes, investissements… Comment va Station F après huit ans d’existence ? 

Huit ans après son inauguration en 2017, Station F, le plus grand campus de startups au monde lancé par Xavier Niel, dresse un état des lieux de son activité. À travers des données consolidées et des observations sur l’évolution de l’écosystème, la structure met en avant des tendances marquées dans la dynamique entrepreneuriale en France.

Station F plus en forme que jamais.

Depuis trois ans, les entreprises hébergées à Station F lèvent en moyenne 1 milliard d’euros par an, un volume de financement qui devrait encore être atteint en 2025. Environ 40 % des startups sont fondées ou cofondées par des femmes, un taux également stable, tandis que près de 70 nationalités sont actuellement représentées sur le campus.

Les levées de fonds ont nettement progressé par rapport aux premières années : en 2018, 350 millions d’euros avaient été levés sur l’année complète ; un montant désormais atteint en deux à trois mois. Au premier semestre 2025, 800 millions d’euros ont été levés, avec plus de 20 tours de table dépassant les 10 millions d’euros, notamment chez Multiverse Computing (189 M€), Veesion (38 M€) ou Tomorro (25 M€).

La maturité croissante de l’écosystème se traduit aussi par une hausse du nombre de fondateurs ayant déjà lancé une entreprise : ils représentent aujourd’hui 53 %, et 28 % en sont à leur troisième création ou plus. Les parcours professionnels les plus fréquents restent ceux issus de startups et scale-ups, mais le nombre de fondateurs venus de la recherche progresse, au détriment des profils issus du conseil.
L’intelligence artificielle au cœur des projets

Station F observe une présence massive de l’intelligence artificielle : environ 70 % des startups utilisent l’IA comme composant central de leur produit ou service. OpenAI reste la solution technologique la plus adoptée, devant Mistral et Anthropic.

Un climat politique suivi de près

Parmi les préoccupations exprimées par les fondateurs, le contexte géopolitique mondial reste en tête. Fait notable, l’élection présidentielle française de 2027 apparaît déjà comme la deuxième source d’inquiétude, devant des enjeux plus immédiats comme le financement ou le recrutement. Une situation interprétée comme un besoin de stabilité politique dans les années à venir.

Depuis janvier, plusieurs programmes ont été lancés ou renforcés, notamment avec Paris Saint-Germain, IndiaAI, UM6P ou encore le programme Pioneers. Station F a également ouvert de nouveaux espaces, dont un studio de podcast et un restaurant baptisé Riverside. Le site a accueilli plusieurs événements, comme l’AI Action Summit ou la Vivaparty, ainsi que des personnalités politiques et économiques.

Difficile de fêter un anniversaire sans son papa, Station F a donc réalisé une petite vidéo avec Xavier Niel pour l’interroger sur le bilan de sa création. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas forcément brillé par le nombre de bonnes réponses !

Bon plan pour les abonnés Freebox Pop S : TV et musique en illimité à prix cassé avec la nouvelle offre Molotov + Deezer Premium

Molotov et Deezer s’associent pour proposer une formule au prix avantageux, idéal pour les détenteurs d’une box dual play comme la Freebox Pop S.

Avis à ceux qui cherchent une offre TV couplée à un service de streaming musical. Molotov, la plateforme française de TV par internet, et Deezer, annoncent aujourd’hui le lancement de « Molotov Extra + Deezer Premium », pour accès TV et musique à prix réduit. “Et c’est une première en France. Face à la multiplication des abonnements numériques, Molotov et Deezer font le choix de regrouper ces 2 services du quotidien en 1 seul abonnement, à tarif préférentiel”, annonce un communiqué

Proposée au tarif de 12,99 €/mois pendant 12 mois (puis 17,99 €/mois), l’offre  Molotov Extra + Deezer Premium représente une économie de près de 30 % par rapport à deux abonnements distincts souscrits séparément, le tout sans pub, sans engagement et sur tous les écrans. C’est une solution pour regarder la télévision “sans box TV et sans forfait onéreux auprès d’un opérateur”, indique Molotov. Un forfait mobile riche en data peu suffire tout comme une offre dual play comme la Freebox Pop S de Free.

De son côté, Deezer Premium permet une écoute illimitée de tous vos titres préférés, sans publicité et en qualité Hi-Fi , mais aussi des blind-tests, karaokés et Flow, un outil de recommandation intelligent, 

« Nous sommes ravis de collaborer avec Molotov TV, en offrant à des millions de personnes à travers la France l’opportunité de vivre la musique avec Deezer grâce à notre expérience musicale premium. Le streaming vidéo et le paysage des médias numériques continuent d’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de connexion, de créativité et d’impact culturel. Des partenariats comme celui-ci s’inscrivent pleinement dans notre stratégie de croissance, en France comme à l’international. », a déclaré Julien Delbourg, Directeur Commercial de Deezer.

Données de millions d’abonnés SFR volées : arrestation de 4 Français derrière une plateforme de revente illégale

Plusieurs hackers français ont été arrêtés cette semaine. Membres présumés de la plateforme cybercriminelle BreachForums, ils sont accusés d’avoir joué un rôle central dans la diffusion illégale de millions de données sensibles, notamment dérobées chez SFR.

L’enquête sur les fuites massives de données visant plusieurs entreprises françaises, dont SFR, progresse. Plusieurs individus ont été interpellés cette semaine dans les Hauts-de-Seine, en Seine-Maritime et à La Réunion. Ces suspects sont soupçonnés d’avoir contribué à la vente de base de données piratées, notamment issues d’intrusions dans les systèmes d’information d’acteurs majeurs comme SFR, Boulanger, France Travail ou encore la Fédération française de football. Des données qui peuvent facilement être utilisées dans le cadre d’arnaques.

Ces arrestations marquent un nouveau coup dur porté à l’écosystème cybercriminel autour du forum Breached (ou BreachForums), plateforme de revente de données piratées fondée en mars 2022. Déjà fragilisée en mars 2023 par l’arrestation aux États-Unis de Conor Brian Fitzpatrick, alias « Pompompurin », administrateur principal, la plateforme avait été relancée sous une direction clandestine composée de cinq Français, opérant sous les pseudonymes « ShinyHunters », « Hollow », « Noct », « Depressed » et « Intelbroker ».

Selon une source proche du dossier, Intelbroker avait été arrêté dès février, ce qui avait conduit les autres administrateurs à suspendre temporairement l’activité du site en avril, craignant d’être identifiés à leur tour. Mais la BL2C (Brigade de lutte contre la cybercriminalité) a poursuivi ses investigations, aboutissant à cette nouvelle vague d’interpellations.

« Il ne s’agit pas de petits hackers isolés, mais de profils au haut niveau technique, capables de gagner la confiance d’un milieu où l’anonymat est roi », explique l’expert en cybersécurité Benoît Grunenwald. « Le fait qu’ils soient Français souligne aussi que la menace est bien interne et structurée. » Avec ces arrestations, les échanges sur BreachForums devraient fortement ralentir, voire s’interrompre. Reste à déterminer l’étendue des données revendues et les éventuelles complicités dans l’exploitation de ces informations personnelles massivement compromises.

Source : Le Parisien

Ca s’est passé chez Free et dans les télécoms : Free a une idée folle mais ne va pas assez loin, Netflix et compagnie changent la donne…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …


23 juin 2021 : la chronologie des médias finalement revue

Un tournant dans le paysage audiovisuel français. Depuis le 23 juin 2021, les plateformes font désormais partie intégrante du circuit de financement et de distribution du cinéma en France. Le décret SMAD était inscrit au journal officiel et imposait ainsi à Netflix, Disney+ et consorts de financer la production audiovisuelle française et européenne, en échange d’une diffusion plus rapide des films sur leurs plateformes. À titre de comparaison, le temps d’attente pour une distribution d’un film sur Netflix était de 36 mois avant, contre 15 aujourd’hui. Mais encore aujourd’hui, les plateformes réclament une révision de cette loi, notamment après que Disney+ ait obtenu un délai réduit à 9 mois.


28 juin 2007 : Free lance TV perso

Créer sa propre chaîne de télévision, c’est la proposition faite par Free avec TV Perso lancé le 28 juin 2007 sur la Freebox HD. Il suffisait alors de raccorder n’importe quelle caméra à sa Freebox, pour filmer et diffuser des évènements privés ou publics simplement via sa box. Évènements familiaux, locaux, associatifs, culturels, sportifs, éducatifs…pouvaient ainsi être facilement partagés, entre proches, au sein des communautés d’intérêts (associations locales, sportives, culturelles, monde de l’éducation…) ou avec l’ensemble des Freenautes éligibles quelle que soit leur version de Freebox. TV Perso était proposé sans surcoût dans l’offre Freebox sur le canal 13 . Le service a bien sûr disparu depuis, notamment, de l’aveu de Xavier Niel, parce qu’il était trop limité… Aux Freebox.


28 juin 2022 : Oqee devient disponible pour toutes les Freebox

Une nouveauté bienvenue qui s’inscrivait dans la logique de l’opérateur d’étendre l’accès à Oqee à de plus en plus d’utilisateurs. En effet, jusqu’au 28 juin 2022, seuls les abonnés Freebox Pop, Delta et Révolution avaient accès à Oqee sur smartphones, tablettes, Apple TV et TV connectées. Depuis ce jour, c’est désormais proposé à tous les abonnés Freebox, y compris Freebox mini 4K, One et même Crystal. Une fois ce changement effectué, l’opérateur a pu se concentrer sur déployer le service sur d’autres supports et l’a même inclus pour les abonnés au forfait Free à 19.99€/mois.

oqee


29 juin 2010 : Free lance le Freebox TVReplay

Free lançait il y a 15 ans l’offre de “télévision de rattrapage” la plus complète à l’époque. Voici… Freebox TVREPLAY ! Ancêtre de Freebox Replay lancé le 29 juin 2010, le service permettait d’accéder, à l’époque, de voir ou revoir les programmes de 33 chaînes dans les 7 jours suivant leur diffusion. Si l’offre s’est étoffée depuis et le nom a changé, le principe reste encore le même avec une offre très complète.

A l’époque, vous pouviez accéder au replay de toutes ces chaînes, heureusement le catalogue s’est étoffé


29 juin 2020 : la 4G enfin partout dans le métro parisien

La fin d’un très long chantier, qui change la vie des usagers. La RATP annonçait en effet le 29 juin 2020 que les travaux pour proposer la 4G sur l’ensemble des métros et RER parisiens avaient pris fins.

Pour cela, les quatre opérateurs s’étaient alliés, SFR et Bouygues avaient signé en 2012, Orange l’année suivante puis Free enfin en 2014. 300 kilomètres de câbles tirés, 300 antennes et 280 locaux techniques, souvent sous terre et sur des infrastructures parfois centenaires. La couverture des 304 stations de métro n’a pas été une mince affaire. Initialement prévu pour être finalisée en 2017, l’objectif de 100% du réseau en 4G a été repoussé à 2019 et a finalement encore pris du retard avant d’être atteint en juin 2020. Maintenant, à quand la 5G ?


29 juin 2023 : Free facilite la vie de ses abonnés fibre

Depuis le 29 juin 2023, les abonnés Freebox peuvent consulter la référence de leur prise terminale optique (PTO) directement depuis leur espace abonné, dans la rubrique “Ma Freebox”, puis “caractéristiques de ma ligne”. Cette nouveauté, mise en place en avance par rapport à l’échéance du 1er juillet fixée au niveau national, vise à simplifier les démarches en cas de déménagement, de changement d’opérateur ou de souscription à la fibre. Attribuée de manière unique et pérenne par l’opérateur d’infrastructure lors du premier raccordement d’un logement, cette référence permet d’identifier précisément une prise fibre dans les systèmes des opérateurs. Elle apparaîtra également sur les factures à partir du 31 décembre 2023, renforçant ainsi la fiabilité et la facilité des démarches pour les foyers déjà raccordés au réseau FTTH.

Abonnés Freebox, Max (HBO) peut être gratuit une seconde fois pour vous, surveillez votre espace abonné

Free offre à nouveau 3 mois gratuits à certains abonnés Freebox qui en avaient déjà profité.

Initialement lancée le 11 juin 2024, l’offre Max Basic avec pub gratuit pendant trois mois pour les abonnés Freebox Pop et Freebox Ultra refait surface. Alors que de nombreux abonnés ont déjà pu en bénéficier, Free semble relancer l’opération de manière discrète.

Selon nos constatations, certains abonnés Freebox Pop peuvent à nouveau activer cette promotion depuis leur espace abonné, même s’ils y avaient déjà souscrit auparavant. Une stratégie qui n’est pas inédite pour l’opérateur : Free avait déjà proposé à deux reprises l’offre Canal+ Séries, avec 12 mois offerts à chaque fois.

À noter que depuis avril dernier, cette offre Max n’est plus disponible pour les nouveaux abonnés Freebox Révolution Light, qui bénéficiaient jusque-là d’un mois offert. La plateforme Max, propriété de Warner Bros. Discovery, s’apprête par ailleurs à faire peau neuve : elle reprendra son nom emblématique HBO Max d’ici la fin de l’été.

Espace abonné d’un abonné Freebox qui avait déjà profité de 3 mois offerts à Max il y a un an.

Pour des raisons de sécurité, l’activation de cette offre Max ne sera possible que depuis un appareil (smartphone, tablette, ordinateur…) connecté à votre Freebox.

Pour découvrir les offres Freebox, retrouvez notre nouveau comparateur.

Les achats intégrés débarqueront sur TF1+ le 1er septembre avec la possibilité de regarder vos programmes sans pub

C’est officiel, le micropaiement débarquera à la rentrée sur TF1+, des contenus phares seront proposés avec une option payante sans pub.

À partir du 1er septembre, TF1+ inaugurera une nouvelle fonctionnalité de micropaiement permettant aux utilisateurs de visionner leurs programmes préférés… sans publicité, a révélé le 24 juin, Rodolphe Belmer, PDG du groupe TF1 dans une interview accordée à Variety. C’est une évolution de plus dans la stratégie de monétisation de la plateforme du groupe TF1, qui entend diversifier ses sources de revenus au-delà de la publicité classique et numérique.

Un modèle inspiré des jeux mobiles

Plus concrètement,  cette nouveauté s’inspirera du modèle économique éprouvé des achats in-app sur mobile, notamment dans le secteur du jeu vidéo, a fait savoir le patron de TF1. Ainsi, les utilisateurs pourront, au cas par cas, choisir de payer pour accéder à certains contenus sans interruption publicitaire. À titre d’exemple, l’émission Koh-Lanta sera proposée dès sa diffusion, le mardi soir, avec deux options : gratuite avec publicité ou payante sans.

Baptisée « achats intégrés », cette initiative se veut « distinctive, unique et non concurrentielle », selon le dirigeant, en opposition aux approches traditionnelles des grandes plateformes de streaming par abonnement. Elle permettra au groupe de capitaliser davantage sur ses programmes à forte audience, tout en offrant aux spectateurs un meilleur confort de visionnage.

Cette innovation s’inscrit dans le cadre d’un accord global signé le 11 juin avec les principales organisations de la création audiovisuelle (SACD, Scam, USPA, SPI, SATEV, AnimFrance, SPECT, SEDPA). Celui-ci autorise TF1+ à proposer certains contenus en TVOD (vidéo à la demande transactionnelle) et en EST (achat numérique définitif), en plus de l’offre gratuite (AVOD/FVOD) et par abonnement (SVOD) déjà en place.

Valable jusqu’en 2028, cet accord prévoit également une hausse des obligations d’investissement dans la création patrimoniale française (de 12,5 % à 12,57 % du chiffre d’affaires), ainsi qu’un renforcement des engagements en matière de diversité culturelle et de production indépendante. Par ailleurs, la plateforme TF1+ sera sera lancée simultanément dans 22 pays d’Afrique francophone le 30 juin.

Orange lance une nouvelle promo pour ses abonnés Livebox et mobile, avec deux mois d’abonnement à un service bien connu offerts

Deux mois offerts pour découvrir L’Équipe avec Orange, sans engagement.

Bonne nouvelle pour les amateurs de sport : Orange propose actuellement une offre d’essai de deux mois pour accéder à 100 % des contenus numériques de l’Équipe. Cette promotion, valable jusqu’au 2 juillet 2025, permet aux nouveaux abonnés de profiter de l’ensemble du journal — articles, analyses, vidéos et éditions numériques — gratuitement pendant deux mois, avant de passer à 9,99 €/mois, sans engagement.

Pour souscrire à l’offre L’Équipe Essentiel via Orange, il faut être client Internet ou mobile chez l’opérateur. Toutefois, il n’est pas nécessaire de posséder un décodeur TV : l’accès se fait via smartphone, tablette ou ordinateur. À noter que le service n’est pas disponible sur les décodeurs TV Orange.

L’abonnement est sans engagement, renouvelable automatiquement chaque mois, et peut être résilié à tout moment avec effet immédiat. La gestion se fait facilement depuis l’Espace client Orange ou l’application mobile. Une option permet également de gérer l’abonnement via l’interface TV d’Orange.

Les clients disposant déjà d’un abonnement L’Équipe doivent d’abord résilier leur contrat actuel avant de souscrire via Orange, afin d’éviter toute double facturation. Une fois l’abonnement Orange activé, il est possible de réutiliser ses identifiants existants pour conserver son historique de lecture et ses préférences.

Après souscription, un lien d’activation est envoyé par email et/ou SMS. Ce lien, valable 48h, permet d’activer son compte L’Équipe en quelques clics. Le journal est ensuite disponible dès 00h30 en version numérique, sur tous les écrans.

Xavier Niel, le patron de Free, rachète un bâtiment aux Galeries Lafayette

Le bâtiment BHV L’Homme a été cédé à Xavier Niel, contribuant davantage à son portefeuille immobilier.

Un nouveau cap pour le BHV L’Homme. Le groupe Galeries Lafayette a confirmé, ce mardi 24 juin, la vente de l’immeuble situé rue de la Verrerie, dans le Marais (Paris IVe), à NJJ Verrerie, société immobilière contrôlée par Xavier Niel. Cette cession s’inscrit dans une stratégie de réorganisation plus large, amorcée depuis le rachat du BHV par la Société des Grands Magasins (SGM) en 2023.

Le bâtiment de plus de 8 500 m² ne sera donc plus exploité par le BHV, comme l’avait déjà annoncé Frédéric Merlin, président de la SGM, au début de l’année. Pour Xavier Niel, fondateur de Free et figure majeure du secteur tech, cette acquisition s’ajoute à un portefeuille immobilier déjà conséquent en Île-de-France, comprenant notamment des parts dans le Carrousel du Louvre, le Forum des Halles et le centre commercial Les 4 Temps à La Défense. La valeur totale de ses actifs immobiliers dépasserait désormais les 3 milliards d’euros. Le montant de cette dernière transaction n’a pas été communiqué.

Les intentions du milliardaire pour ce site emblématique n’ont pas encore été précisées, et les motivations stratégiques du groupe Galeries Lafayette n’ont pas été détaillées non plus.

Parallèlement, le repositionnement du BHV se poursuit. L’offre du BHV L’Homme, actuellement au 36 rue de la Verrerie, pourrait être regroupée au 52 rue de Rivoli, adresse du magasin principal. « Plusieurs pistes sont étudiées », indiquait Frédéric Merlin début 2025. Depuis la vente du BHV à la SGM, les murs du site restaient la propriété des Galeries Lafayette.

Mais cette situation pourrait bientôt évoluer : la SGM a annoncé avoir entamé des négociations exclusives avec la Banque des Territoires pour l’acquisition des murs du grand magasin, dans le cadre d’un accord estimé à 300 millions d’euros. Un projet qui s’inscrit dans une dynamique de transformation du commerce de centre-ville, avec l’objectif affiché de recentrer le BHV Marais et de le remettre sur la voie de la rentabilité.

Source : Le Parisien

(MAJ) L’application Canal+ disparaît sans explication des TV Hisense, les abonnés s’agacent

Canal+ a résolu le problème vers 12h ce 25 juin : “L’incident touchant les TV sous Vidaa (modèles de TV Hisense majoritairement) est désormais résolu. Si l’app CANAL+ est toujours absente sur votre équipement, nous vous invitons à effectuer un redémarrage complet de votre TV et à vous assurer que toutes les mises à jour de votre TV ont bien été effectuées. Nous vous remercions pour votre patience et vous présentons nos excuses pour la gêne occasionnée”, annonce le groupe.


Un bug semble être à l’origine de la disparition soudaine de l’application Canal+ sur de nombreux modèles de TV Hisense.

Depuis hier, de nombreux utilisateurs de téléviseurs connectés Hisense ne peuvent plus accéder à l’application Canal+, soudainement disparue de leur interface. Sur le forum officiel d’assistance de de la filiale de Vivendi, les témoignages d’abonnés se multiplient, dénonçant une suppression inexpliquée du service, une réinitialisation du téléviseur n’y changeant rien.

J’ai acheté il y a un an une tv Hisense car elle avait l’application canal+ que ma Samsung ne possédait pas. Surprise aujourd’hui, quand j’appuie sur la touche Canal+ de ma télécommande cela m’indique “application non disponible” et elle a disparu de mes applis installées et mème de Vidaa store ! Ayant investi pour cela j’aimerai que celle ci revienne et vite”, déplore Marinedelphine.

Le problème a été signalé dès le 24 juin, mais à ce jour, Canal+ n’a fourni aucune réponse officielle ni solution concrète. S’il semble s’agir d’un bug, ce dysfonctionnement affecte plusieurs modèles de téléviseurs récents et empêche les abonnés d’accéder à leurs contenus, en particulier ceux qui utilisent exclusivement leur TV connectée pour profiter de leur offre Canal+.

“Ma télé n’a même pas 1 mois, j’ai contacté SFR qui m’as dit de contacter Canal+ qui m’a ensuite dit de contacter Hisense. J’ai deux TV Hisense, une seule a ce problème”, témoigne pour sa part Stephane25342382.

Sollicitée à travers son assistance en ligne, Canal+ a seulement indiqué que ses équipes étaient « alertées », sans indiquer de délai pour un éventuel rétablissement du service. En attendant, certains clients se tournent vers des solutions alternatives comme d’autres supports pour accéder à leur offre.

Soldes Free Mobile : de nouvelles « Offres XXL, Prix XXS » sur de nombreux smartphones

À la recherche d’un nouveau smartphone sans vous ruiner ? Ce sont les soldes chez Free Mobile avec des « Offres XXL, Prix XXS », offrant des réductions exceptionnelles sur une sélection de modèles allant de l’entrée de gamme aux flagships les plus innovants.

À l’occasion des soldes d’été, Free Mobile lance une nouvelle opération commerciale sous la bannière « Offre XXL, Prix XXS ». L’opérateur annonce des offres allant jusqu’à 150€ de remboursement  ou 150€ de bonus reprise, avec parfois des remises vraiment alléchantes. Le tout sur des modèles variés, y compris certains packs comprenant des accessoires connectés. L’opération durera jusqu’au 22 juillet. Voici cinq appareils assez différents qui sont notamment concernés par ces soldes.

  • Honor Magic7 Lite 5G (Entrée de gamme)
  1. Prix via Free Flex 81 € puis 10,99 €/mois × 24 mois (Option d’achat : 34 €)
  2. Coût total si achat : 379 €
  3. Remise affichée : 80€ remboursés sur demande
  • Xiaomi 14T (Milieu de gamme)
  1. Prix via Free Flex : 141 € puis 15,99 €/mois × 24 mois (Option d’achat : 60 €)
  2. Coût total si achat : 445 €
  3. Remise affichée : 140€ remboursés sur demande et 100€ de bonus reprise
  • Google Pixel 9 Pro XL (Haut de gamme)
  1. Prix via Free Flex : 299 € puis 24,99 €/mois × 24 mois (Option d’achat : 100 €)
  2. Coût total si achat : 949 €
  3. Remise affichée : 50€ remboursés sur demande, 200€ de remise immédiate
  • Motorola Razr 50 Ultra (Premium pliable)
  1. Prix via Free Flex : 449 € puis 24,99 €/mois × 24 mois (Option d’achat : 100 €)
  2. Coût total si achat : 1 049 €
  3. Remise affichée : 100€ remboursés sur demande
  • Samsung Galaxy A26 5G (Milieu de gamme)
  1. Prix via Free Flex :69€ après remboursement puis 8,99 €/mois × 24 mois
  2. Coût total : 282€
  3. Remise affichée : 40€ remboursés sur demande

Bien d’autres modèles sont concernés, avec des offres plus ou moins alléchantes. Vous pouvez effectuer une pré-sélection sur le site web pour trouver l’ensemble des mobiles bénéficiant de ces réductions.

Disney+ fait désormais payer le partage de compte avec une nouvelle option… sauf pour beaucoup d’abonnés Freebox, Livebox etc (pour le moment)

La plateforme de streaming de la firme aux grandes oreilles  déploie l’option payante “Abonné supplémentaire” pour ses abonnements en direct seulement.

À l’image de Netflix, Disney+ introduit une nouvelle mesure pour encadrer le partage de compte entre proches ne vivant pas sous le même toit. Baptisée « Abonné supplémentaire », cette option, annoncé en septembre 2024, permet dès à présent d’ajouter un utilisateur externe à son abonnement, moyennant un supplément mensuel, entre 4,99 € et 5,99 €/mois, en fonction de la formule d’abonnement souscrite (avec ou sans pub, standard ou premium).

L’invité doit être majeur, résider dans le même pays que le titulaire du compte, et ne pas avoir de compte Disney+ actif ou récemment résilié. Il bénéficiera d’un profil personnel, de ses propres identifiants, et d’un accès à l’intégralité du catalogue sur un seul appareil à la fois, avec la même qualité de streaming que l’abonné principal.

Seule limite pour l’instant : cette fonctionnalité est réservée aux abonnements contractés directement auprès de Disney+. Les clients qui accèdent à la plateforme via leur FAI par exemple, comme les abonnés Freebox Ultra, et Pop ou les clients d’autres opérateurs comment Orange, Bouygues et SFR, ne sont donc pas concernés à ce stade. “À l’heure actuelle, l’option Abonné supplémentaire est uniquement disponible avec les abonnements facturés directement par Disney+”, annonce l’assistance du service SVOD. Du côté des restrictions, l’abonné supplémentaire ne peut pas gérer l’abonnement ni modifier les paramètres du compte principal, mais peut se désabonner de manière autonome.

Orange veut revoir en profondeur son fonctionnement en France afin de booster ses performances face à ses rivaux

Être toujours plus compétitif dans un marché arrivé à maturité, Orange prépare un plan baptisé “Regain” visant à simplifier son organisation.

L’opérateur historique s’apprête à revoir en profondeur son organisation territoriale. Selon Le Monde, la direction d’Orange a transmis aux représentants du personnel les grandes lignes d’un plan baptisé « Regain », en vue d’une réorganisation de ses équipes en France. Ce projet, encore en phase de réflexion mais avec une mise en œuvre envisagée au 1er janvier 2026, doit être officiellement présenté le 3 juillet lors d’un comité social et économique central.

L’objectif affiché est de « simplifier le fonctionnement d’Orange France » et d’« améliorer ses marges » dans un contexte de marché atone et de forte pression concurrentielle, renforcé possiblement aussi par l’incertitude autour de l’avenir de SFR. 70% des directions actuelles seraient concernées en France, avec une centralisation de certaines fonctions stratégiques à Paris et une redéfinition des implantations régionales. L’objectif serait d’améliorer au final ses performances commerciales en gagnant en réactivité.

“Le nouveau projet de réorganisation, lui, concerne 12 des 17 directions d’Orange dans l’Hexagone, où le groupe compte près de 47 000 employés. Parmi elles, il y a notamment les directions grand public, technique, expérience client, celles consacrées à la finance et à la stratégie, ou encore aux ressources humaines”, indique Le Monde.

Orange assure qu’aucune suppression de postes n’est prévue. Mais les syndicats restent prudents, voire critiques. La CFE-CGC dénonce une centralisation excessive qui affaiblirait les territoires, tandis que la CFDT attend des précisions avant de se prononcer, évoquant plusieurs zones d’ombre dans l’organisation cible. En France, Orange comptait plus de 66 700 postes en 2019.

Un préavis de grève déposé au sein du groupe Iliad/Free par FO et Printemps Écologique

Les syndicats FO et Printemps Écologique du groupe Iliad / Free ont annoncé le dépôt d’un préavis de grève à partir du mardi 1er juillet 2025 à 00h00. Ce mouvement social concernera l’ensemble des salariés de plusieurs entités du groupe, notamment Free Réseau, Free SAS, Réseau Optique de France, Free Mobile, Assunet, Iliad SA, Freebox et Trax.

La grève fait suite à un désaccord entre les syndicats et la direction concernant la nouvelle charte télétravail, jugée régressive pour les droits des salariés. Selon les syndicats, la direction a refusé d’ouvrir de réelles négociations sur ce sujet, malgré les alertes des représentants du personnel et plusieurs tentatives de dialogue. De plus, l’Inspection du travail a récemment émis des réserves sur la légalité de certaines dispositions de cette charte.

Les revendications des syndicats organisateurs incluent :

  • Le retrait immédiat de la charte actuelle,

  • L’ouverture de négociations loyales et transparentes,

  • Le maintien des droits existants,

  • La garantie de l’absence de mesures de rétorsion à l’encontre des salariés mobilisés.

Ce mouvement social concerne l’ensemble des sites, métiers et plages horaires, y compris les astreintes, et vise à défendre les conditions de travail tout en soulignant la dégradation du dialogue social au sein du groupe Iliad. Les syndicats restent disposés à engager un dialogue constructif pour résoudre cette situation.

Plusieurs nouveautés arrivent sur M6+ et ses chaînes pour la rentrée

Le groupe M6 prépare une transformation en profondeur de sa grille de programmes pour la rentrée 2025. Au programme, l’arrivée d’Hanouna, la création de nouveaux corners et bien d’autres changements. 

Une vraie volonté “d’accélérer”, affirme Guillaume Charles, directeur des programmes de M6 aux Echos. A partir de septembre, la programmation de la filiale de Bertlesmann entend ainsi “changer de dimension”. Si l’on peut notamment penser à l’exclusivité pour la France de la Coupe du monde de football de 2026, ce ne sera pas la seule arrivée qui risque de marquer la rentrée.

Du nouveau contenu sur les chaînes…

À partir du 1er septembre, Cyril Hanouna fera son arrivée sur W9 avec un talk-show diffusé en access prime time, de 18h45 à 20h15. En parallèle, il officiera aussi sur Fun Radio, autre média du groupe M6, qui insiste : l’animateur, souvent controversé, y fera exclusivement du divertissement, sans incursion politique.

Le groupe M6 entend par ailleurs renforcer son pôle information. Les JT et les magazines emblématiques comme Capital ou Zone interdite resteront des piliers, mais de nombreuses soirées événementielles viendront enrichir la grille, à l’image d’un documentaire sur l’histoire de l’immigration porté par Karine Le Marchand. Évincée du 20h de France 2 après une baisse d’audience, Anne-Sophie Lapix rejoint RTL et animera chaque dimanche soir sur M6 un grand entretien avec une personnalité de premier plan. Sans  oublier également le développement de nombreux jeux, mêlant des succès récurrents comme Pékin Express », « Top Chef » ou « L’amour est dans le pré », plusieurs nouveaux formats seront lancés (« Pandore », « 99 à battre », « Shaolin », etc.).

Même sur la fiction, M6 aura son feuilleton quotidien. Comme TF1 et France Télévisions, le groupe a décidé de produire en interne (par sa filiale SND) sa quotidienne « Nouveau jour ».

M6+ va s’améliorer

La plateforme doit en effet intégrer 30% d’heures consommées en plus, grâce à des partenariats et une grande diversification. On pourra ainsi voir apparaître un corner dédié aux contenus de la plateforme ADN, dédiée à l’animation japonaise. Mais d’autres contenus liés à l’Asie seront intégrés : un “dispositif événementiel” nommé K comme Corée, proposant cinq séries de K-Drama en léger différé.

M6 annonce également qu’il proposera des séries cultes en intégralité tirées du catalogue de la “Trilogie du Samedi” comme Buffy ou Stargate SG-1. De plus la NFL sera a nouveau diffusée dès le 7 septembre sur M6+ avec un match de saison régulière tous les dimanches, et nouveauté : tous les écrans sont concernés par cette diffusion, y compris les TV connectées.

Le cadeau vide de sens de SFR, Free fait-il assez pour séduire ? Vos meilleures réactions à l’actualité de Free et des télécoms

Univers Freebox traite de l’actualité de Free et des télécoms et a toujours été un espace sur lequel la communauté pouvait s’exprimer. Parfois, les réponses sont très drôles, ou très pertinentes, mais il faut se plonger dans les commentaires pour découvrir les bons mots de nos lecteurs. Nous vous proposons alors notre petite sélection dans ce “Best-Of”


Pourquoi les frais d’activation sont juste remboursés ?

Si les grands opérateurs ont récemment quasiment tous augmenté les frais de résiliation sur le fixe, ils vont le chemin inverse sur les frais de mise ne service. c’est notamment le cas de Free qui annonce sur son site web depuis le 20 juin que les frais de mise en service, habituellement facturés 49 euros, sont désormais offerts à tous les nouveaux abonnés Freebox sur demande, sans limite de durée et sans condition d’engagement. Un geste qui s’inscrit dans une volonté de simplifier et d’alléger le coût d’entrée pour les nouveaux clients et ainsi recruter davantage. La grande question se pose cependant, pourquoi les rembourser et ne pas les désactiver directement ? Il faut cependant concéder que l’offre reste intéressante, et que rien n’obligeait à le faire.


La Veepee n’est pas si sexy ?

Free lançait la semaine dernière pour la deuxième fois une offre spéciale sur Veepee.fr avec Freebox + forfait mobile qui est proposée à 24,99€/mois (la précédente Vente Privée proposait la même offre, mais à 19,99€/mois la première année). Cette offre reste cependant intéressante mais le le tarif est valable uniquement durant 1 an. Au delà, le forfait Freebox Révolution light passe à 29,99€/mois et le forfait mobile passe à 15,99€. Cette offre représente une économie de 240€ sur l’année. Cependant, beaucoup restent assez sceptiques sur cette offre.


Free Prépayé pourrait avoir des clients surprenants

Alors que Free n’a toujours pas officialisé le lancement de ses offres prépayées, la commercialisation semble bel et bien en cours. Selon un post de Tiino-X83 sur X, et confirmé par plusieurs photos de brochures et affiches publicitaires, Free Prépayé est désormais visible dans certains points de vente (bureaux de tabac), lesquels mettent en avant ses pass nationaux et internationaux déjà détaillés sur le site dédié (https://prepaye.free.fr), le tout avec des slogans accrocheurs comme « Un max de data, un minimum de moula ! » ou « One, two, Free… Viva l’Algérie ». S’il y a beaucoup d’offres, qui concerneront notamment les plus petits budgets, pour d’autres, ces propositions ont un tout autre intérêt…


Un geste commercial un peu fumeux chez SFR

Le 16 juin 2025 restera dans les mémoires des abonnés SFR comme une journée de galère numérique. En fin de matinée, une panne massive a paralysé les services de l’opérateur sur l’ensemble du territoire, affectant à la fois les connexions mobiles et fixes. Pour tenter d’apaiser la colère de ses abonnés, SFR a annoncé un geste commercial inédit : tous les clients mobile de SFR et RED by SFR recevront 100 Go d’internet mobile supplémentaires, automatiquement attribués “dans les prochains jours”. Aucune action ne sera requise de la part des utilisateurs. Certains auraient cependant préféré une compensation commerciale…


TF1 sur Netflix, fausse bonne idée ?

Le catalogue de TF1 mais aussi l’ensemble des chaînes du groupe seront disponibles directement sur Netflix, pour les abonnés à une de ses offres à compter de l’été 2026. Une annonce qui laisse perplexe quant à l’avenir de la plateforme, notamment pour une certaine clarté.

France Télévisions dénonce “un acte de malveillance” à l’origine de la panne de ses chaînes, le groupe porte plainte

La panne majeure qui a paralysé les chaînes du groupe audiovisuel public le week-end dernier n’avait rien d’accidentel.

France Télévisions a annoncé lundi soir dans un communiqué avoir porté plainte après un “acte de malveillance survenu” vendredi soir “à l’extérieur de la Maison France Télévisions”, relaie l’AFP. Selon le groupe audiovisuel public, cet acte a provoqué la panne d’un circuit de climatisation, entraînant un arrêt des serveurs de diffusion de ses principales chaînes.

Dans la nuit du 21 juin, vers minuit, les antennes de France 2, France 3, France 4, France 5 et franceinfo ont été interrompues. La chaîne d’information en continu a été particulièrement touchée, son direct n’ayant pu reprendre qu’en fin de matinée samedi en raison d’une panne de la régie de son plateau.

Une enquête est désormais ouverte pour faire la lumière sur les circonstances et les motivations de cet incident, alors que France Télévisions indique avoir déposé plainte dès lundi.

Source : Franceinfo

Free : “les nouveaux Samsung Galaxy pliables arrivent, tentez de les remporter”

Samsung a la volonté de plier littéralement le game le 9 juillet prochain avec ses nouveaux smartphones pliables. Vous pouvez les remporter grâce au « Grand Jeu Galaxy Unpacked ».

“Du 24 juin au 09 juillet 2025, inscrivez-vous avec Free pour tenter de gagner l’un des nouveaux Samsung Galaxy Pliables”, à l’occasion de l’annonce du Galaxy Unpacked 2025 qui révèlera le mois prochain les nouveaux Galaxy Z Fold 7 et Z Flip 7, Free et le géant sud- coréen lancent un concours.

Pour participer au jeu, rien de plus simple, il suffit de se rendre sur le site https://www.teasing-samsung.fr/free, puis de remplir un formulaire avec son prénom, nom, adresse e-mail (et numéro de téléphone, facultatif). Il sera ensuite demandé d’accepter le règlement en cochant la case prévue à cet effet et de prendre connaissance des instructions avant de cliquer sur « Je m’inscris ». Le participant peut aussi, s’il le souhaite, s’abonner aux actualités et offres exclusives de Free en cochant une case spécifique. Par ailleurs, il sera possible d’augmenter vos chances d’être tiré au sort en partageant le jeu avec vos ami(e)s sur Whatsapp, X ou encore Facebook.

Sont à gagner “un smartphone de la nouvelle gamme Galaxy Z qui sortira en juillet 2025, modèle 1, 256GB, Bleu Nuit” et un  smartphone de la nouvelle gamme, modèle 2, 256GB, Bleu Nuit. “Les valeurs des smartphones ne peuvent être indiquées au public en date du début du jeu, ceux-ci n’étant pas encore commercialisés”, précise le réglement.

Sosh lance une nouvelle offre spéciale fibre WiFi 7 à moins de 20€ par mois

La marque low-cost d’Orange propose une nouvelle offre fibre sur la plateforme Showroom Privé, au tarif plutôt alléchant la première année.

De temps en temps, Sosh propose une Série Spéciale pour sa boîte fibre exclusivement sur le site Showroom Privé, et avec sa récente amélioration, l’offre est assez intéressante, disponible jusqu’au 28 juin à 8h du matin.

Cette Série Spéciale Sosh Fibre est donc proposée à 19.99€/mois pendant un an, puis 24.99€/mois ensuite, ce qui est normalement le prix habituel de l’offre Sosh. On peut également noter que les frais de mise en service de 39€ sont également offerts.

L’offre en elle-même est exactement la même que celle proposée sur le site officiel Sosh. 2 Gbit/s et 800 Mbit/s en upload, l’accès au WiFi , mais toujours pas de télévision incluse. Une offre qui vient marcher sur les plates bandes de Red by SFR qui propose lui aussi une offre double-play à 19.99€/mois, bien que ce tarif soit pérenne dans le cas de la concurrence, rappelons également que Red ne propose toujours pas de WiFi 7 ni de débits aussi élevés. Du côté de Bouygues Telecom et Free, on peut trouver des offres équivalentes pour 23.99€/mois avec la Freebox Pop S et la B&You Pure Fibre.

Abonnés Bouygues Telecom : 10 chaînes jeunesse offertes pendant les vacances d’été sur les Bbox

Bouygues Telecom offre aux abonnés Bbox l’accès gratuit à son bouquet Jeunesse du 17 juillet au 18 août 2025, avec 10 chaînes pour enfants disponibles en clair pendant un mois.

Pour les grandes vacances, Bouygues Telecom met en clair son bouquet Jeunesse du 17 juillet au 18 août 2025. Les abonnés Bbox pourront ainsi accéder gratuitement, pendant un mois, à 10 chaînes pour enfants, sans aucune démarche ni frais supplémentaire.

Conçu pour les enfants de 3 à 12 ans, ce bouquet propose une sélection variée de dessins animés et séries cultes. Parmi les programmes phares : Scooby-Doo, Tom & Jerry, Bob l’Éponge, La Pat’Patrouille, Le Petit Nicolas, Roi Julian ou encore Bugs Bunny Constructeurs.
Les chaînes disponibles en clair

  • Canal J – canal 106
  • Nickelodeon Toons – canal 107
  • Boomerang – canal 108
  • Boomerang +1 – canal 109
  • Cartoonito – canal 110
  • Nickelodeon – canal 111
  • Nickelodeon +1 – canal 112
  • Dreamworks – canal 113
  • Tiji – canal 114
  • Nickelodeon Junior – canal 115

Les abonnés peuvent également retrouver ces chaînes sur l’application B.tv, incluse avec l’offre Bbox, pour regarder leurs programmes préférés en déplacement. En dehors de cette période de mise en clair, le bouquet est proposé à 9,99 €/mois, avec actuellement une offre promotionnelle à 4,99 €/mois pendant deux mois.

Source : Alloforfait

M6 s’impose comme le diffuseur exclusif en clair des Coupes du monde de football avec de nouveaux droits

Face à TF1, M6 va remporter les droits TV de la prochaine Coupe du monde de football féminin en 2027. De quoi consolider un peu plus sa place parmi les grands diffuseurs sportifs français.

Le groupe M6 poursuit sa razzia sur les plus prestigieuses compétitions de football. Après avoir acquis en mars 2024 les droits en clair des Coupes du monde masculines de 2026 et 2030, la chaîne vient également de remporter ceux de la Coupe du monde féminine 2027, organisée au Brésil du 24 juin au 25 juillet. Selon les informations de L’Équipe, M6 s’apprête à signer avec la FIFA un contrat lui garantissant la diffusion intégrale de la compétition pour le marché français. Alors que TF1, longtemps diffuseur historique des grandes compétitions internationales, était également candidat sur ce dossier, M6 s’impose et poursuit sa stratégie de conquête sur les droits sportifs.

La chaîne dispose déjà, en co-diffusion avec France Télévisions, des droits des matches de l’équipe de France féminine jusqu’au 30 juin 2027, hors grandes compétitions. Elle est désormais libre de tout conserver ou de revendre une partie de ces droits à d’autres diffuseurs en sous-licence. Reste à savoir si un accord de partage verra le jour avec TF1, comme cela avait été envisagé pour les Coupes du monde masculines à venir. Diffuseur du prochain Euro 2028 masculin et Euro 2025 féminin, la filiale de Bouygues mise en parallèle sur le basket, en s’emparant fin mai des droits de diffusion en clair des prochains grands tournois internationaux de l’équipe de France, hommes et femmes, jusqu’en 2029.

Clin d’oeil : en pleine panne géante chez SFR, une abonnée doit attendre … 88 ans

En pleine panne réseau, une abonnée SFR se voit annoncer un temps d’attente digne d’un roman de science-fiction : 88 ans. Une conversation surréaliste avec le chatbot qui prête à sourire… après coup.

Quand la technologie s’emmêle, le résultat peut prêter à sourire. Le 16 juin dernier, SFR a subi une panne géante qui a privé de nombreux abonnés de leurs services pendant plusieurs heures. Mais pour Élise, une cliente vivant près de Nancy, le dysfonctionnement a pris une tournure pour le moins cocasse.

Ne parvenant pas à joindre un conseiller par téléphone – logique en pleine panne –, Élise se tourne vers la messagerie de l’opérateur. Et là, surprise : le chatbot lui annonce un temps d’attente de 46,56 millions de minutes, soit environ 88,5 ans. Rendez-vous en… 2114.

Plutôt que de s’énerver, Élise prend la nouvelle avec humour. « Ça va être long », écrit-elle. Une plaisanterie visiblement trop subtile pour l’assistant virtuel, qui lui répond avec un laconique « Je vais bien merci ». L’échange continue dans un dialogue de sourds : après un « Je suis ravie de le savoir » teinté d’ironie, le robot enchaîne avec un inattendu « On vous aime aussi chez SFR ». Réponse finale d’Élise : un petit cœur, qui achèvera de dérouter l’IA. « Je ne suis pas encore formé pour répondre à ce type de question », s’excuse-t-il. Heureusement, la cliente n’aura pas eu à patienter presque un siècle. Le réseau a été rétabli dans la soirée du 16 juin, après une douzaine d’heures de coupure.

Source : L’Est Républicain