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Une commission d’enquête sur les sites en streaming demandée
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Luc Besson qui a dénoncé ce week-end dans plusieurs médias "le piratage à grande échelle via internet" de contenus vidéos et accusé de "grandes entreprises françaises" d’en retirer des intérêts financiers. Il a cité en exemple le site beemotion.fr mais aussi un moteur de recherche et une société d’e-commerce qui tirent indirectement profit. beeMotion.fr a suspendu ses activités ce week-end suite à une démarche de son hébergeur Free consécutive aux déclarations de M. Besson.
Luc Besson qui a dénoncé ce week-end dans plusieurs médias "le piratage à grande échelle via internet" de contenus vidéos et accusé de "grandes entreprises françaises" d’en retirer des intérêts financiers. Il a cité en exemple le site beemotion.fr mais aussi un moteur de recherche et une société d’e-commerce qui tirent indirectement profit. beeMotion.fr a suspendu ses activités ce week-end suite à une démarche de son hébergeur Free consécutive aux déclarations de M. Besson.
M. Lefebvre relève, qu’en dehors de l’hébergeur, "pas moins de cinq opérateurs économiques domiciliés en France" concouraient "volontairement ou non" à la rémunération de l’éditeur de ce site "qui diffuse des films récents sans en avoir acquis les droits depuis le Canada". "C’est un exemple parfait de piratage industriel", a considéré le député. Un site Allo Streaming, hébergé à l’étranger, fonctionne lui aussi "avec la complicité d’annonceurs français", déclare M. Lefebvre.
Source : AFP