Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms … ». Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …
Une première en Europe ; Free mettait à disposition l’ADSL 2+ pour ses abonnés Freebox éligibles. Cette nouvelle norme permettait l’accès à Internet très haut débit (à l’époque), avec 15 Mbit/s en download et 1 Mbit/s en upload, sans changement de prix.
Au commencement, seules quelques zones étaient concernées du fait de la nécessité d’équiper les NRA en conséquence, avec parmi elles évidemment Paris et l’Île de France, Strasbourg, Lyon et ses environs…
Tada qui voilà ? C’est Bouygues Telecom ! ♫ L’opérateur a lancé il y a maintenant 17 ans sa première offre triple-play, avec un nom qui sonne bien : la Bbox. Trois offres étaient proposées à l’époque, dont l’une au même prix de la Freebox (29.90€/mois). Autre nouveauté que Bouygues Telecom mettait en avant : il était le premier opérateur à intégrer des heures de communications vers les mobiles, tous opérateurs 24H/24 et 7j/7. Pour en bénéficier, il fallait opter pour l’offre à 39.90€ par mois.
Une grosse acquisition à l’époque, la maison-mère de Free annonçait un accord signé pour racheter Citéfibre. En 2006, il s’agissait du premier opérateur FTTH, avec 3000 kilomètres de fibre, 1400 foyers raccordables à Paris et 500 clients. Pour reposer le contexte : il y a 17 ans, la fibre était bien moins démocratisée qu’aujourd’hui.
Le 20 octobre 2020 était lancé le “Netflix français”, un projet de longue date et assez ambitieux qui avait donc écopé de ce surnom assez difficile à porter. Le service de SVOD de TF1, M6 et France Télévisions se lance dans le grand bain et espérait trouver sa place en se démarquant de Netflix et consorts avec 10 000 heures de programmes disponibles lors du lancement, mais aussi via l’accès à une vingtaine de chaînes TV en live. Le service a cependant disparu depuis, faute de succès.
Certains se rappelleront peut-être du passage du numéro de téléphone de 6 à 8 chiffres en 1985. Sachant que désormais, nous sommes sur un plan de numérotation à 10 chiffres, et ce, depuis 1996, verra-t-on un jour un plan à 11 ou 12 chiffres, faute de place pour les nouveaux abonnés ?
Mais l’histoire d’amour entre la filiale de Vivendi et Free remonte à bien plus longtemps. Il y a 19 ans, Free annonçait l’arrivée de la version numérique de la chaîne cryptée sur la box de l’opérateur, accompagnée du bouquet CanalSat. Pour rappel, il s’agit de l’ancien nom des offres Canal, abandonné depuis 2015 lors de la fusion du bouquet avec les chaînes du groupe. À l’époque, l’offre se nommait même “CanalsatADSL”, un poil longuet.
Un outil bien pratique qui sera bientôt généralisé à tous les abonnés Freebox était déjà teasé dans une mise à jour de Freebox en 2022. En effet, c’est à l’occasion d’une nouvelle version logicielle des Freebox Révolution, mini 4K, One, Delta et Pop numérotée 4.7.0, que les développeurs annonçaient une seule nouveauté : le support d’un certain “Backup internet”. Une surprise puisque Free n’avait aucunement annoncé travailler sur un appareil du genre. Il sera lancé plus tard, d’abord uniquement en dépannage puis en location pour les abonnés Freebox Ultra et Ultra Essentiel.
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