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Dissection de la nouvelle Freebox mini 4K
A peine commercialisée, la voilà déjà démontée. Nos confrères de Clubic viennent à peine de recevoir la Freebox mini 4K lancée mardi dernier, Freebox qu’ils se sont empressés de démonter pour voir ce que cette dernière avait dans le ventre.
Dans la partie serveur de la Freebox mini 4K, on retrouve ainsi un afficheur OLED, écran de verre posé juste le long de la facade et qui permet de délivrer l’heure, l’état de la connexion… Pour communiquer avec l’interface du Freebox Serveur mini 4K des contacteurs tactiles. Côté Wi-Fi le boitier est équipé d’une puce Marvell 88W8366 prenant en charge le Wi-Fi 802.11n et non le Wi-Fi 802.11ac. On y retrouve également une autre puce Marvell accompagnée de 4 modules de mémoire de 128 Mo permettant au boitier de disposer de 512 Mo de mémoire cache.
On y retrouve également la Femtocell dans son plus simple appareil, module géré par un contrôleur Broadcom BCM 61650, compatible HSPA+/H+ à 21 Mbits de débit descendant, 5.76 Mbits montants et pouvant gérer jusqu’à 16 sessions data ou voix. Ce dernier est également accompagné de deux puces mémoire DDR2 de 128 Mo.
Le boitier dispose également d’un radiateur équipé d’un ventilateur de 6 cm de diamètre.
Du côté Player, on retrouve une puce double-coeur signé Broadcam, le BCM 7252 disposant d’une architecture compatible ARMv7, un GPU associé compatible Open GL ES 3.1. Ce dernier peut effectivement prendre en charge le décodage matériel des flux jusqu’en 4K à 60 Hz.
Ce dernier est accompagné de 4 puces mémoire DDR2 de 128 Mo chacune pour un total de 512 Mo de mémoire vive. Il intégre également une puce de mémoire flash de 8Go, dont 3 Go sont utilisés par le système.
Source et crédits photos : Clubic
Cet article a été repris sur le site Univers FreeBox
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