C’est ainsi que la commission européenne veut s’assurer que les aides public aillent bien aux délaissés du haut débit. Elle a rendu public aujourd’hui les grandes lignes de ses décisions visant à réduire la fracture numérique.
Concrètement, Bruxelles veut orienter les aides publiques "vers les zones où les opérateurs privés n’investissent pas", en distinguant entre trois types de territoires : les zones blanches, grises et noires.
Les zones noires, souvent urbaines et à forte densité de population, sont celles où il y a déjà au moins deux réseaux à haut débit concurrents. Bruxelles estime qu’aucune aide publique ne devrait y être accordée.
A l’opposé, les zones blanches, souvent rurales et peu peuplées, ne disposent encore d’aucun réseau haut débit, et Bruxelles y autorise généralement les aides.
Entre deux, les zones "grises" ne comptent qu’un seul réseau, généralement celui de l’opérateur de télécoms historique.
Bruxelles y admet sous certaines conditions une aide publique pour favoriser l’émergence d’un second opérateur, notamment si les offres existantes ne sont pas adaptées aux besoins de tous les utilisateurs ou trop chères, et si aucune autre mesure ne permet d’atteindre le même but.
Lire l’intégralité de la dépèche de l’AFP sur le site de l’AGEFI
Au tour d'une personne issues de Bouygues Telecom de prendre la tête de la fédération…
Après plusieurs années de difficultés de raccordement sur un pan spécifique du réseau fibre de…
En rachetant Warner Bros, Netflix devient un géant mais promet de conserver la continuité des…
Malheureusement, nous ne pourrons pas vous proposer votre émission préférée, Totalement Fibrés, cette semaine. Nous…
La marque low-cost d'Orange lance une nouvelle option et fait payer les appels en WiFi…
Amazon Prime ajoute cette semaine trois nouveaux jeux à son offre : un récit sombre…