Google n’a pas chômé dans sa lutte contre le piratage et a passé un cap.
Un milliard de sites désindexés par la firme de Mountain View pour un total de 7 milliards de liens supprimés depuis 2012. Le géant américain ne passe pas une semaine sans devoir déréférencer de sites de téléchargement illégal, forcé d’agir par les demandes des ayant-droits d’œuvres piratées.
Le plus gros demandeur de déréférencement de sites est MindGeek Premium, propriétaire de Pornhub, qui serait à l’origine d’un quart des plaintes mondiales. À noter cependant, toutes les demandes ne proviennent pas d’ayants droits ou d’entreprises, certaines requêtes sont automatisées et certaines viennent même de sites pirates concurrents.
S’il s’agit d’un traitement des symptômes, le mal reste lui bien ancré puisque s’il peut empêcher de retrouver les sites web, la suppression pure et simple est en revanche impossible pour Google. Ainsi, les sites sanctionnés par la firme de Mountain View peuvent toujours être trouvés en passant par d’autres moyens, d’autres moteurs de recherche.
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