La situation n’est pas vraiment simple pour le principal actionnaire de l’opérateur d’infrastructure, qui n’aurait plus d’alternatives pour revendre ses 45% détenus.
L’affaire se corse pour l’ouverture du capital de TDF. D’après les informations des Echos, le canadien Brookfield n’aurait plus qu’un seul interlocuteur à qui potentiellement céder les 45% détenus dans la towerco. Ce sont en tout 19 400 sites télécoms qui sont concernés.
Les discussions avec le suédois EQT tourneraient autour d’une cession de 8 milliards d’euros, soit le minimum attendu par le principal actionnaire lorsqu’il avait lancé la vente. La période est moins propice a ce type d’opération, indique une source du dossier et si une partie de l’activité de TDF est “très bien valorisée“, le secteur du broadcast y est moins propice.
Si vente il y a, Brookfield parviendrait tout de même à doubler la valeur de TDF par rapport à sa vente en 2014. Mais d’autres problèmes peuvent subvenir notamment le fait que les trois autres co-actionnaires de TDF devraient donner leur accord.
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