Le décret dit SMAD (pour services de médias audiovisuels à la demande”) est validé par le Conseil supérieur de l’audiovisuel, avec quelques remarques.
Le gouvernement veut faire contribuer Netflix, Amazon et consorts à la production audiovisuelle et cinématographique française. Il s’agit ici de l’application d’une directive européenne. Concrètement, ce projet fixe le taux d’investissements des plateformes étrangères à 20% ou 25% du chiffre d’affaires qu’elles réalisent en France.
Le taux d’investissement varie selon la place de la plateforme dans la chronologie des médias : plus Netflix investira, plus vite il pourra diffuser un film après sa sortie en salle. Les plateformes devront d’ailleurs mettre en avant les oeuvres française et européennes dans leur catalogue. Pour le CSA, ce texte marque une “étape majeure dans l’adaptation et la modernisation” du financement de la production.
Un avis favorable qui ne va pas sans remarques. Notamment sur le calcul du chiffre d’affaires des plateformes intégrées dans des bouquets de services, comme Amazon Prime Video. Et surtout le CSA appelle à veiller à “la cohérence d’ensemble” entre ce décret et d’autres textes en préparation pour s’assurer d’une certaine équité entre les plateformes et les chaînes linéaires.
Source : AFP
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