Dans une situation compliquée depuis deux ans, Huawei cherche des solutions pour générer de nouveaux revenus. Disposant d’un grand nombre de brevets autour de la 5G, il aurait d’ailleurs une idée.
L’embargo américain a coûté cher à Huawei. Il a écarté le groupe chinois du déploiement de la 5G dans plusieurs pays et lui a fait perdre des parts de marché dans le domaine des smartphones. Assez logiquement, celui-ci cherche des moyens de renflouer les caisses. D’autant plus que la récente arrivée de Joe Biden à la maison blanche ne semble pas prête, au moins pour l’instant, d’améliorer la situation.
Fin 2020, Huawei a ainsi cédé sa branche Honor, la libérant au passage des restrictions liées à l’embargo américain telles que l’accès aux composants et aux services de Google. Selon CNBC, le géant asiatique étudierait à présent l’idée d’une taxe lui permettant de rentabiliser ses travaux dans le domaine de la 5G et donc de créer une nouvelle source de revenus. Elle serait payée par les fabricants de smartphones.
Huawei est en effet le premier détenteur de brevets autour de la 5G. Il possède 3 007 brevets. De quoi augmenter la probabilité qu’un appareil ait recours à ses technologies. D’ailleurs, 18,3 % des brevets autour de la 5G détenus par Huawei seraient exploités. La firme de Shenzhen envisagerait ainsi de réclamer jusqu’à 2,50 euros par smartphone 5G vendu et utilisant l’une de ses technologies. Un système de royalties qui n’a rien de nouveau en soi, avec à la clé la possibilité de récupérer entre 1,2 et 1,3 milliard de dollars pour la période 2019-2021.
Avis aux coquins qui voudraient consommer des contenus interdits aux moins de 18 ans sur…
Pouvoir piloter Free TV à la voix, l'opérateur y pense et travaille à proposer une…
Amazon va proposer une partie de son catalogue Prime Video sur Netflix. La logique d’exclusivité…
L’offre Pure Fibre de B&You pourrait évoluer prochainement, probablement avec un prix plus élevé. L’offre…
L'option mVPN n’est pas compatible avec l’Apple Watch, précise l'opérateur. Free Mobile a lancé mardi…
La mesure de blocage réclamée par l'État n'a pas été validée par le tribunal. C’est…