Une étude scientifique évoque des risques d’interférences avec l’arrivée de la 5G. Ces perturbations pourraient rendre les prévisions météorologiques moins fiables.
Pour permettre l’arrivée de la 5G avec ses forts débits, il faut des équipements compatibles, mais aussi des fréquences que vont utiliser les opérateurs pour faire transiter le signal (et qui feront l’objet d’enchères en fin d’année en France). Et c’est justement ce dernier point qui pourrait poser problème. D’après une étude publiée fin avril dans la revue scientifique Nature, les hautes fréquences nécessaires pour les forts débits de la 5G pourraient se traduire par des interférences.
Avec la 5G, on parle en effet des fréquences millimétriques, celles comprises entre 24,25 et 27,5 GHz. Or, les hautes fréquences sont également utilisées par les satellites météorologiques (humidité, pression atmosphérique et température), mais également par les satellites militaires. Il faudra donc choisir judicieusement les fréquences pour éviter les perturbations, à savoir des possibles interférences qui pourraient rendre moins fiables les prévisions météo. En Europe, la stratégie tourne autour d’une réorganisation du spectre (quand c’est possible) et des bandes de garde (bandes de fréquences non attribuées).
Sources : Nature et Le Parisien
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