SFR n’est pas vendeur. Les déclarations, il y a deux jours, du patron d’Altice Europe, Alain Weill, ont eu un impact négatif sur le titre du groupe de Patrick Drahi à la Bourse. Celui-ci a reculé de 5,25% hier à la clôture.
Le cours d’Altice a même accusé une des plus fortes baisses du Stoxx 600 mercredi à l’ouverture, l’AFP rapporte que des traders n’ont pas manqué d’évoquer les propos du directeur général du groupe, lequel a notamment assuré dans une interview accordée, mardi, aux Echos que « Patrick Drahi n’est absolument pas vendeur ». Et de préciser : « Je constate que ce sont plutôt les deux plus petits acteurs des télécoms qui poussent désormais à une consolidation », ciblant ainsi Free et Bouygues Télécom. Le patron d’Altice a par ailleurs rappelé qu’il n’a « aucune échéance importante de dette avant 2022 » et que SFR est « cash-flow » positif. Pour lui, l’opérateur n’est donc pas en situation de se faire racheter. Alain Weill, a également estimé que "de toute façon, la consolidation se fera un jour et que ce jour-là, SFR en sortira grandi et renforcé." Conséquence, le titre a chuté de 5,25% à la clôture hier, à 3,17 euros.
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