L’UFC-Que-Choisir avait déclaré, le 15 mai 2006, que le fournisseur d’accès était "autiste" face aux abonnés qui rencontraient des problèmes. Free avait vivement réagit face aux accusations de l’association en qualifiant les propos d’une "brutalité inouïe" . Free reprochait notamment à l’association, une baisse brutale de son action en bourse (-12%) suite aux propos tenus.
Et bien, fin de l’histoire, la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a accordé le "bénéfice de la bonne foi" à Alain Bazot, président de l’UFC-Que-Choisir, et Jean-Paul Geai, rédacteur en chef du magazine.
Nouveau numéro de votre magazine hebdomadaire “Totalement Fibrés” , en direct tous les vendredis à…
Canal+ met fin à son différend fiscal avec l’État. Après plusieurs années de contentieux, Canal+…
"Chez Free, on aime faire les choses différemment", et l'opérateur le prouve en vidéo en…
Amazon Prime enrichit cette semaine son offre avec une sélection particulièrement fournie, mêlant aventure poétique,…
Orange et Ericsson franchissent une nouvelle étape dans l’évolution de la 5G en menant des…
Le tribunal judiciaire de Paris a ordonné jeudi aux fournisseurs d'accès à internet de bloquer,…