Alors que le ministre de l’Economie italien, Carlo Calenda, doit rencontrer aujourd’hui Amos Genish, le DG de Telecom Italia, il a réaffirmé que l’Italie devait être prise au sérieux en marge d’une rencontre avec les acteurs économiques du pays.
Sur un ton polémique il a exprimé son mécontentement considérant que Vivendi s’était cru en Guyane française lorsqu’il est arrivé en Italie. De quoi ne pas apaiser les relations déjà tendues entre le gouvernement italien et le groupe de Vincent Bolloré.
“Une entreprise qui investit dans les télécoms, pour prendre un exemple au hasard, a le devoir de notifier sa prise de contrôle et elle ne l’a pas fait, ils nous ont traités comme si nous étions la Guyane française : alors nous nous saisissons du dossier, nous le mettons sur la table, nous exerçons nos pouvoirs spéciaux et nous allons jusqu’au bout du processus pour faire comprendre que nous sommes un pays qui doit être pris au sérieux.”
Les discussions autour de la cession d’une partie du réseau de l’opérateur historique de la péninsule restent ouvertes. Le ministre italien assure qu’aucun sujet n’est mis à l’écart “nous discutons de tout”. Mais rien de concret ne bougera avant la mise en place du futur gouvernement après les élections de mars prochain. Vivendi va garder les pieds au chaud dans le bourbier italien au moins jusqu’au dégel du printemps prochain.
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