Selon l’article de La Tribune, Free, et en premier lieu Xavier Niel, n’auraient pourtant pas ménagé leur peine ces dernier mois pour prêcher leur cause auprès de l’Elysée. La fermeture de certains newsgroups en serait un des exemples. Mais ce lobbying n’a pas fait le poids face à celui de opérateurs mobiles actuels : « Martin Bouygues écrit chaque mois une lettre manuscrite à son ami Nicolas, le Président » plaisante-t-on chez Free.
Reste que face à des mastodontes comme France Télécom, SFR ou Bouygues, l’entreprise semble plus difficile qu’auparavant pour Free si les lots de fréquences sont effectivement mis aux enchères. Ces derniers se sont en effet montrés intéressés par ces lots pour couvrir certaines zones blanches, comme la campagne.
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