« Ni ordre, ni instruction, ni pression particulière » de l’Elysée pour aller à l’arbitrage, a affirmé à plusieurs reprises à l’AFP Stéphane Richard. Selon le Canard Enchaîné, Stéphane Richard a soutenu le contraire au journal satirique, évoquant une « instruction » transmise par Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Elysée, lors d’une réunion en 2007 avec lui-même et Jean-François Rocchi, président du Consortium de réalisation (CDR), la structure chargée de solder le passif du Crédit lyonnais.
BFM TV explique que le patron d’Orange a tenu des propos contradictoires quant au rôle de Nicolas Sarkozy dans cette affaire. Stéphane Richard expliquait dans un premier temps que la décision d’arbitrage venait directement de l’Elysée avant de se rectifier le tir, en expliquant que l’ex-président de la république avait juste validé ce choix. L’affaire porte sur plus de 400 millions d’euros (argent public).
Merci à Will9342 et Davson93
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