Suite à la question parlementaire du Député socialiste Yann Galut publiée au journal officiel, le 5 février dernier, réclamant un seuil maximal de 0.6V/m pour les antennes-relais, le gouvernement a répondu officiellement hier qu’il s’appuyait sur les travaux de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) pour évaluer les risques sanitaires des ondes électromagnétiques sur la santé.
Dans le précédent rapport de 2009, l’ANSES avait affirmé que « l’exposition du public aux champs électromagnétiques de radiofréquences due aux antennes relais de téléphonie mobile n’engendre pas de risques sanitaires identifiés pour les populations riveraines. » A forciori, cette même agence estimait que la base des 0.6 V/m ne reposait sur rien, et qu’ «au delà de l’absence de justification scientifique, il persiste de nombreuses questions sur la définition et sur ce que représente la valeur de 0.6 V/m. »
Pour autant, le gouvernement s’appuiera sur les conclusions du prochain rapport de l’ANSES attendu courant 2013, «pour améliorer les modalités de concertation et de décision lors d’implantation d’antennes-relais. » De même l’agence a mis en place un Comité Opérationnel (COMOP) constitué de représentants de l’Etat, de collectivités locales, d’associations, de personnalités qualifiées a été chargé d’analyser les niveaux d’exposition démontrant que 95% des niveaux d’exposition sont inférieurs à 1,5 V/m.
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